Blog consacré à un parcours BDSM

Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 14:33

galère

Débuté en 2010, ma nouvelle "promenade" en tant que Maître m'aura apporté plaisirs et satisfactions. Disposer d'une soumise qui vous réserve toute son attention et qui accepte de se mettre à la disposition d'un Maître, apporte beaucoup. Bien plus, les gestes de dévotion, la volonté de se soumettre volontairement, sont autant de déférences humaines auxquelles j'ai toujours été grandement sensible. Enfin témoigner son attachement et son volontariat en offrant son corps et son esprit à son Maître sont aussi, je dirais aussi surtout, des témoignages de très haute valeur. Des témoignages auxquels j'ai été le bénéficiaire. Hélas, les circonstances de la vie couplées aussi avec mon statut n'ont pas permis de poursuivre les relations au-delà de ce qui avait été tenté initialement.

Autant dire que les ruptures, dans les cas qui m'occupent, provoqués par des circonstances indépendantes de notre volonté, furent dures à supporter.

Probablement, ces impacts psychologiques se sont mélangés à une certaine lassitude de devoir, inlassablement, recommencer.

J'ai donc pris le parti de cesser mes activités de dominant. Je garderai toujours en mémoire les merveilleux moments vécus. Il reste aussi l'amitié et l'émotion que je garde aussi en moi et envers ces personnes qui ont eu choisi le plaisir de se soumettre à la volonté d'un Maître.

Je reste déçu par le comportement d'une soumise - Valérie - qui me parlait avec tant de conviction et de "franchise". Elle peut être assurée que son comportement a certainement influencé ma décision.

Mes envies se sont altérées, il est temps de mettre un terme à mes démarches.

Reviendrais-je à ce que j'ai fait jusqu'à présent ? Bien sûr je ne dirais jamais "fontaine, fontaine, je ne boirai jamais de ton eau". Si le hasard devait provoquer une rencontre, outre ce que je viens de décider, j'écouterai ou lirai volontiers une soumise qui me demande une expérience de soumission. Peut être faudra-t-il que ses arguments soient forts pour que je cède.

Je continuerai à lire et me documenter, j'aime trop suivre les expériences des autres, j'aime parler, sans tabous, à des hommes et des femmes qui désirent savoir et découvrir.

Ma passion pour le BDSM, désormais intériorisée, me conduira peut être à rencontrer d'autres passionnés et passionnées. Je les suivrai probablement avec discrétion et écoute. Je suis sûr que je découvrirai, sur moi-même, des qualités que j'ignorais ou que je n'avais pas eu l'occasion de ressentir. Je vais donc explorer ces côtés-là aussi.

Ecrit en septembre 2016

Mtre François

NB: Le présent blog va rester en l'état, certainement encore pour un temps. Je continuerai à répondre à tout correspondant.


 maîtresse avec cravache et loup

 

Je dédie ce texte:

à Valérie- Valou que j'ai rencontré en juin 2011 et qui a cessé de correspondre le 7 mars 2016.

à Princesse, 

à Ella,

à Tia,

à Flo - Lena,

à Li que j'ai initié sur un court laps de temps, 

aussi à "A" qui n'a pas été ma soumise en tant que tel mais que j'ai eu le plaisir de suivre.

aussi à toutes les soumises que j'ai rencontré ici et là: Berne, Zürich, Lyon, Annecy, Genève, Amsterdam, et aux USA (San Francisco, Philadelphie).

 

A toutes: "Bye and good luck"!

 

Voyez ma page: Parcours et vie d'un Maître

 

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la galère s'est sabordée, je nage vers d'autres rives...

 

 


 

 



Par Clovehitch - Publié dans : Informations
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Mercredi 3 août 3 03 /08 /Août 15:49

WANTED ...

 immobilisation

 

Cette perle rare doit être jeune, en tous cas d'esprit, habiter près de chez moi ou  loin (Europe) , ce qui importe c'est la qualité de la relation. Elle doit aimer la vie avec l'homme mûr que je suis.

Qu'elle soit expérimentée ou novice dans le domaine de la vie BDSM, importe peu, ce qui compte c'est sa volonté de progresser avec moi, son Maître.

Elle doit être assurée d'une complète confiance et assurance de ma part.

Elle peut être mariée ou en couple (son jardin secret) ou seule et indépendante. Je lui assure cette autonomie personnelle bien sûr. Initialement je ne compte pas lui offrir une vie sous le même toit, ceci étant dit, le futur ne peut rien promettre et il est évident que l'on ne peut l'exclure non plus dans la mesure où je change ma vie aussi!

Cette relation doit lui plaire intensément. Elle doit en jouir intérieurement presque comme un besoin vital. Elle doit se sentir complètement appartenir et  en tirer un bonheur complet et durable. Je n'entends pas changer de soumise ou de me déplacer avec un harem.

Nous nous verrons régulièrement, sur semaine ou parfois en week-end. Je souhaite aussi partir avec elle en voyage (USA; Allemagne, etc.) pour visiter d'autres clubs ou personnes passionnées de BDSM. Surtout je veux que la relation existe tous les jours d'une façon ou d'une autre pour vivre une forte intimité cérébrale aussi!

Tout ceci se fera sans prise de tête, tout à fait normalement, tranquillement, avec tact et soins.

Je dois aussi préciser que j'attends du volontariat, un volontariat plein et entier. J'ai dit: "qu'elle s'agenouille devant moi, le regard humble, qu'elle me demande, Monsieur, je veux être votre soumise, je veux vous appartenir".

Ecrivez sur ce blog, je vous répondrai dans tous les cas!


 



 

Par Clovehitch - Publié dans : Informations
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Mercredi 13 juillet 3 13 /07 /Juil 22:24

En rencontrant Ella, l'autre jour, j'ai eu a préciser ce que j'entendais par jeune. Il est vrai que pour ma part, si je ne le suis pas vraiment de part mon corps, je reste, dans ma tête assez jeune pour avoir parfois cette fraîcheur que d'aucuns, parfois, me reprochent. Et puis comme Maître je veux éviter d'être limité par des comportement ou des attitudes finalement peu compatibles avec une pratique ouverte et libre de la domination.

 a genoux

Tout au long des mes rencontres j'ai donc trop souvent dû m'accommder de personnes ayant une expérience de la vie qui les conduisait à des restrictions parfois ennuyeuses. Par exemple, j'eu une soumise, rencontrée à Zürich, très sympathique au demeurant mais, par contre, ne supportant rien sur la tête. Pour moi qui aime réaliser des sessions les yeux bandés j'eu cette déconvenue.

Un autre exemple rencontré, c'est une condition physique difficile à cause de genoux endoloris. De ce fait, mettre la personne en position de soumise, justement à genoux (Ordres et positions inspirées du monde de Gor) ne devenait donc plus possible, autre limitation.

Et puis, au-delà de ces détails, le manque de jeunesse s'exprime aussi par les expériences de la vie qui brûlent des parcours des gens. Justement Ella, dont je parle ci-dessus, en fut un exemple bien qu'elle m'aie assuré du contraire, d'une grande ouverture... son parcours l'ayant été avec un Maître manipulateur, pervers et sadique narcissique dont elle s'est finalement séparée. (je ne pouvais évidemment pas lui en vouloir mais il est vrai que sans une pareille expérience les choses auraient été fondées sur la découverte et donc sans restrictions...

Au contraire, j'ai eu de jeunes soumises, très jeunes d'ailleurs (jamais moins de 20 ans) avec qui l'histoire de soumission pouvait se vivre sans limites. Citons le meilleur exemple, Li. Une fille tournée vers la découverte, volontaire, se laissant guider sans obstacles. Intelligente aussi, rebelle parfois mais toujours ouverte et volontaire. Je l'ai beaucoup appréciée et si elle me lit ici je l'en félicite encore beaucoup.

Citons aussi une très jeune fille, Laura, qui si elle n'est pas une soumise comme on l'entend est curieuse et découvre avec plaisir. Un plaisir que je ne dissimule pas d'ailleurs.

Un dernier exemple qui, finalement a mal tourné, justement et probablement à cause de l'âge fut Valérie. Je l'ai connue alors qu'elle avait 24 ans. En fêtant ses 30 ans les choses ont basculé et sont manifestement devenues impossibles.

Je ne peux pas accuser une soumise d'avoir une mauvaise santé, je compatis bien au contraire mais par contre les limitations et les formes de caractères provoquée par les cabosses de la vie me gènent. Je préfère les gens pas compliqués, faciles à vivre (ce qui ne veut pas dire que j'entends profiter de leur attitude) et surtout enjouées et d'humeur égale.

On pourra me rétorquer qu'un Maître doit pouvoir surmonter ces choses. Personnellement, je ne le pense pas, j'aime vivre le bdsm franchement, fraîchement, avec une personne volontaire, sans chichis.

Maintenant j'aimerai dire combien je privilégie la relation avec une personne, peu importe son âge, mais qui a envie, sans limite autres que celles que je viens de mentionner, une relation de soumission durable, enthousiasmante dont la pratique permet de rajeunir et de dévorer les années à pleine dent. Une sorte de défi personel ! Avis aux amateurs (j'ai horreur de la féminisation de ce mot).

 


Par Clovehitch - Publié dans : Règles
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Lundi 9 mai 1 09 /05 /Mai 22:33

Le problème des punitions en BDSM est un cas particulier qu’il ne s’agit pas de confondre avec les punitions que l’on peut vivre dans la vie des tous les jours. Je distingue donc bien fermement le mode de vie "vanille", celui du quotidien public, disons, de la vie BDSM.

Pour en parler, plus en détail, pour préciser les choses à une soumise, rencontrée d’ailleurs par hasard lors d’un « munch » laquelle m’avait posé une question sur une page de facebook. Je lui ai volontiers répondu.

 

Voici sa question, d’abord :

"J'ai lu votre blog Monsieur . ça n'engage que moi aussi. Vous parlez d'une paire de gifles dur payer. La punition étant d'après ce que j'ai pu lire la hantises des soumises la punition.

Pourquoi punir sévèrement au lieu d'expliquer de comprendre la soumise qui n'est juste en désaccord avec son Maître . Je débute dans la soumission. Mon Maître Jacques Amal est à mon écoute. Il y a tellement de question que je pose, j’ai bien sûr abordé le sujet punition, je fais partie de ces femmes qui aime donner leur point de vue, avec mes idées, parfois le ton monte. Pensez-vous qu'une punition me ferait changer d'avis.

Ce que je veux dire suite à votre récit, votre soumise a-t-elle changé sa façon de voir les choses juste pour vous faire plaisir ? Je pense que le Maître peut être aussi fautif ?" [texte reproduit intégralement].

Une autre soumise ajoutait :          

"Oui Monsieur Maître Clovehitch, je vous suis... (du verbe suivre :) ) pour ma part quand il y a punition c'est un "constat d'échec"... car cela veut dire que soit le Dom a mal exprimé une règle ou soit le Dom a demandé à sa soumise une chose qu'elle ne peut pas encore faire... à moins que la soumise soit une rebelle de première... et encore même là... la punition serait un "constat d'échec" car cela voudrait dire que Le Dom n'a pas réussi à la mettre sous emprise...

Cela dit ces propos n'engage que moi."

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une punition qui ne "frappe" pas !

J’ai donc répondu ceci :

[....] pour te répondre, au sujet des claques et je pense que tu fais référence à ce qui s'est passé avec Li, une soumise avec qui je suis toujours en relation épistolaire (elle a maintenant un Maître qui habite sur place). C'est une personne courageuse et assez intrépide. Dans le cas que tu cites, qui est assez exceptionnel, si tu veux bien le considérer, cela faisait suite à des propos assez inhabituels. Je lui avais laissé le choix de continuer. Après ce passage, la session se poursuivit à sa demande. A propos des claques je me souviens avoir vu aux USA une session où la soumise, masochiste, avait reçu près d'une centaine de claques en mentionnant après chaque coup son estimation de la force sur une échelle de 10. Manifestement elle en tirait un plaisir intense.

Bon, ce que je veux dire par là, c’est qu’il arrive que des personnes aiment recevoir des claques, cela fait partie des gammes de session possible. Tout dépend donc des choix et des capacités de la personne. Dans le cas qui nous occupe, Li était prête à cela quand bien même elle s'y attendait.

A propos de la punition, je précise que j'ai déjà parlé de ce sujet sur ce site. Je pense que si des punitions sont pratiquées c'est parce que la personne y a donné son accord. C'est une choix de vie bdsm : je suis soumis ou soumise et j'accepte d'être sanctionné par des punitions dans l'hypothèse où j'ai failli à un ordre ou à une consigne, un protocole. Tout est dans l'esprit dans lequel cela s'applique. D'ailleurs, j'ai observé que parfois des soumises jouent avec cela, notamment les soumises masochistes, qui provoquent leur Maître afin de recevoir une sanction. A la limite, c'est une inversion des rôles où la personne manipule le dominant en faisant le contraire de ce qui était ordonné. Cela peut aussi se régler sur un "contrat" passé entre le dominant et la soumise, sur lequel on peut écrire : « en cas de faute la soumise reçoit une punition ». Donc pour te répondre précisément à la question" cela fera changer d'avis", on est pas du tout dans la volonté de persuasion mais bien plus dans une relation "je fais une erreur et je me reçois une correction que je mérite". On est donc pas du tout dans le cas que tu penses.

C'est sur un autre plan et forme de relation.

Il faudrait aussi préciser que ce mode de vie n'est, à mon sens, possible et justifiable que si on est dans une relation "leather" comme je l'explique sur ce blog d'ailleurs. Je m'éloigne donc, encore une fois de la forme "jeu" qui est souvent évoquée dans les discussions et qui existe en effet dans le monde bdsm "non leather".

IMG 2044

le contre exemple, une punition qui marque...

De plus, personnellement, je considère qu'une punition n'est pas forcément l'application d'une douleur physique mais peut aussi être une action psychologique qui vise à refuser de faire quelque chose d'agréable: refus d'accéder à une jouissance par exemple. D'ailleurs, dans la relation, j'aime tenir un cahier, le « CAPER » (cahier des punitions et des récompenses) sur lequel j’inscris, ou je fais inscrire, les choses très bien et les infractions. Ceci se passe toujours avec l'approbation, voire l'attente de la personne soumise.

 

image du cahier des punitions

 

le Cahier des Récompenses et des Punitions

 

L'utilisation du cahier peut donc entrer dans un protocole hebdomadaire par exemple, où la soumise, à genoux, tenant le cahier entre ses mains, lis les lignes de la semaine. A la suite de cette lecture le Maître peut soir lui demander quelle récompense ou punition elle mérite. Elle prononcera alors les mots nécessaires à la préparation de la session en invoquant sa dévotion, son désir, son état de préparation, ses remerciements enfin.



Par Clovehitch - Publié dans : Informations
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Jeudi 25 février 4 25 /02 /Fév 10:38

Fréquentant les cercles de rencontre (appelés "munch", terme anglais qui veut dire croquer mais qu'on pourrait traduire par apéro) il m'est ainsi donné de croiser des passionnés du BDSM. C'est sympa car les conversations sont libres, sans aucun tabou, chacun se respectant avec ses convictions, ses idées, ses fétichismes. Bien sûr le cadre est public et l'accès est parfaitement libre. 

Ces rencontres donnent l'occasion de partager des points de vue et de créer des liens (avant de les faires en réel...).

Dans mon expérience, la première surprise est de croiser de nombreuses personnes, des femmes surtout qui sont là par curiosité. Si le premier pas a été franchi, à savoir se documenter et se déplacer en revanche plus rien ne se passe après. Curieusement le contact avec un(e) dominateur(trice) ne correspond à rien.

On se trouve aussi confronté à cette catégorisation qui a fait l'objet d'un autre article sur ce présent blog. Les "leather" et les "non leather". Cette différence entre ceux qui vivent cela avec fidélité à leur passion et tout le temps et les autre qui "jouent" de temps à autre. 

 

photo 5-copie-1

Tout d'abord ma réserve par rapport au mot "jouer". Ce mot est souvent utilisé pour réaliser des sessions qui pour les uns représente un don de soi au dominant et ainsi de lui prouver attachement et soumission vraie. A ce mot, je préfère le terme de session, "faire une session" qui est certes moins facile à utiliser dans une conversation mais qui représente mieux ce qu'est la vraie relation BDSM. C'est à dire autant de domination/soumission que de sado/masochisme.

C'est ainsi que la plupart des personnes rencontrées se plaisent plus dans le jeu que dans la vraie relation et d'inverser alors les rôles, "je suis ta soumise mais c'est moi qui te commande ceci ou cela". A cela il y a des limites qui sont délicates car si le dom est à l'écoute de sa soumise, il doit se méfier de cet inversement des rôles. Il est vrai que dans la littérature on mentionne assez souvent cet état des choses.

Dire que justement ces "jeux" ont des limites me semble donc opportun, chacun étant bien entendu libre d'opter pour ses choix propres.

Si bien sûr j'ai du plaisir à mener des sessions sous forme de "jeux" (avis aux "joueuses") histoire de garder la main, j'incline bien plus à celui de diriger une soumise tout le temps avec un attachement réciproque, une émotion qui conduit à écrire les pages d'une belle histoire.

 

 

éphémère

            soumise éphémère (un insecte qui ne vit q'un jour) ... une expérience dont j'ai regretté l'issue non pas par la décision de la soumise de me quitter (nous n'étions pas dans la même ville) mais par la dernière session que je lui ai fait vivre... à cause de son insoumission... C'est elle qui m'a motivé à la rédaction de cet article.

Aujourd'hui l'insecte s'est mué et s'est posé sur une autre main... 

Soumises insoumises que sont aussi ces gens qui sous le couvert ou la protection anonyme d'internet s'amusent à manier le fantasme, à imaginer sans jamais avoir l'intention de réaliser réellement. Il est vrai que certains affichent avec honnêteté leurs intentions. J'ai connu cette soumise de Briançon qui affichait avec franchise ses intentions. Dans le même temps, et j'ai évoqué ces relations dans mes pages précédentes, des soumises qui ne le font pas, soit par poltronerie soit par jeu délibéré.

D'ailleurs récemment j'ai voulu savoir! Je me suis rendu dans la ville de la soumise laquelle m'avait donné pas mal de détails sur sa vie. Utilisant ces détails, avec l'aide du GPS je réussis à tomber sur des informations capitales qui m'ont prouvé que le nom de la soumise était faux.

Curieusement j'ai du croiser sa soeur sur le site facebook et à la question de devenir ami, elle a changé complètement sa page et son "mur".

Si cette soumise se reconnaît qu'elle sache deux choses: d'une part que je la trouverai, de toutes les façons, pour lui dire de ne plus agir de la sorte et de lui souhaiter bonne chance dans sa vie et d'autre part, deuxième choses, de l'assurer que je n'en suis pas fâché en ce sens que j'ai pas du tout envie de me pourrir l'existance en me fâchant et me vengeant. Je sais pourquoi elle a fait cela.

Que faire là contre? Je ne pourrait que recommander des étapes rédhibitoires:

voir mon article: Confiance... oui, mais laquelle ?

• S'identifier et vérifier l'identification

• Transmettre ses coordonnées (téléphone, adresse, lieu de travail)

• La rencontre.

Ne pas être "éblouis" par des photos parfois piquées ailleurs, se méfier des chats vidéos.


 

Les témoignages sont ici les bienvenus. Il pourront éclairer les suivants et nous tenir à distance des insoumises et des malhonnêtes!

 




 


Par Clovehitch - Publié dans : Informations
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Jeudi 7 janvier 4 07 /01 /Jan 21:01
Un bel exemple de session.
J'apprécie le comportement du Maître qui dirige le session, un homme qui veut fouetter sa compagne. C'est très exactement ce que j'apprécie de faire. Ici le mot "stop" veut dire d'arrêter, personnellement j'emploie le mot "rouge" ou "red" en anglais.

******
J'avais montré cette vidéo à une personne qui a pris peur face à cette session. Elle interpréta ainsi ce film de façon erronée.
Il faut donc voir ce petit film complètement.

Il faut aussi préciser que la soumise qui reçoit cette flagellation le fait de façon totalement volontaire. Le dom agissant donc avec précaution et de telle façon que la douleur des coups se transforme et agisse sur la production d'endorphines (voir ici plus bas!).
Par ailleurs le dom doit agir avec son fouet ou objet de flagellation de telle façons qu'il alterne d'une fesse à l'autre par exemple permettant à la peau "d'absorber" l'impact. Personnellement je demande à la soumise de compter et de dire le chiffre seulement quand elle est prêt pour le coup suivant.

On peut aussi dire que l'intensité, c'est à dire la force, joue un rôle important: faible force, répétition rapide, force forte espacement des coups.
Il est enfin préférable de ne pas changer d'instrument, chaque instrument ayant un effet différent.  
Wikipedia: Les endorphines [hormone du plaisir, ndlr] (de l'abréviation endogenous morphine — morphine endogène1) sont un groupe de neuropeptides opioïdes endogènes, c'est-à-dire des peptides agissant comme des neurotransmetteurs, produits par le corps, agissants sur les récepteurs opiacés, sans toutefois être chimiquement apparentés aux composés de l'opium. Les endorphines sont sécrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus chez les vertébrés lors d'activité physique intense, excitationdouleur et orgasme. On les retrouve entre autres dans le cerveau et la moelle épinière ainsi que dans le système digestif. Comme les opiacés, et en particulier la morphine (d'où leur nom), elles ont une capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être voire d'euphorie2.


Par Clovehitch - Publié dans : Informations
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Lundi 4 janvier 1 04 /01 /Jan 22:33

2016, pour moi, ce sera la 6e année de ma présence sur ce blog.

Je souhaite avec joie et ardeur à toutes les lectrices et lecteurs de ce blog une belle nouvelle année!

que vos projets et vos désirs les plus intimes se réalisent et au moins vous apportent la satisfaction légitime et intime que vous attendez.

que votre passion, cachée, discrète, ouverte et réelle de soumise ou de dominatrice vous conduise à cette sérénité que l'on espère en ayant osé tenter ou vivre le bdsm.

Mes souhaits et mes voeux sont évidemment plus particulièrement  dirigés vers toutes les personnes avec qui j'ai eu l'occasion de partager cette passion:

Charlana, Ella, Brigitte, A, Mya, Irene, Flo, Liliane, Tia, Valou, Sir Marc, Sir Mike, Li, Tyrius ! 


Par Clovehitch
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 17:38

Récemment je me suis rendu aux USA pour des raisons professionnelles. Le soir je répondis à une invitation d'un club BDSM auquel j'appartiens et notamment avec des amis de ce club. Il s'agissait d'une rencontre associée à une sorte de munch. Après quelques conversations et avec un groupe nous sommes partis en direction de la campagne voisine empruntant d'abord de larges autoroutes puis sur des routes similaires à celle que nous connaissons en Europe.

La ferme était situé en rase campagne. En entrant dans un sorte de salle genre bistrot, et par un accueil fort cordial, je me mis rapidement à l'aise. En discutant avec les gens présents, la plupart habillés en noir, je m'approchais d'une fille isolée, tondue d'ailleurs, et entamais avec elle une discussion de présentation quelque peu banale. J'appris en fait qu'elle devait se produire pour une session filmée et organisée par Bren Scott que l'on appelle habituellement "PD" ce qui en français sonne un peu bizarre... il est vrai que c'est de la langue anglaise.

Nous nous rendîmes dans une sorte de grande halle aux murs en bois.

C'est ainsi que je fus invité et associé à la session de cette soumise très maso d'ailleurs. Elle reçut ainsi une longue volée de fouet de type snakewhip, très fins. J'eus ce plaisir, je dirai même ce privilège de manier ce fouet. Peu après ce tout de chauffe, la session et le tournage commença et cette fois-çi les 4 assistants marquèrent le corps de cette fille avec leurs fouets et dans le cadre du film tourné par cette société de production.

N'étant pas membre du team, bien sûr je restai en retrait avec mes amis de KFE et goûtais au spectacle, il faut dire très excitant.

Cette séquence du tournage terminé et après une assez longue discussion sur la façon dont la soumise endura cette session. La suite des prises d'image se préparait. L'heure avançant, tout le groupe KFE et moi-même avons quitté cette ferme et sommes rentrés, après une assez longue route, sur mon hôtel habituel.

Ce fut un super moment privilégié.

 

************


Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 21:23

Le single tail

 

Je viens d'acquérir un magnifique fouet américain tressé noir et or. Encore un peu rigide je dois le traiter avec de la graisse de pied de boeuf destiné à attendrir et assouplir le cuir.

Lors des sessions ce très bel instrument doit être manié avec précaution, mais il est vrai que je le fais toujours.

Son bout extrêmement fin claque facilement. Nul doute qu'il pourra strier avec finesse la peau de la soumise désireuse de connaître ces moments intenses où la douleur, contrôlée, se transforme en d'intenses décharges d'endorphine...

Affaire à suivre, n'est-ce pas?

 

PB060088

 

Je n'hésite pas à recommander un fabricant de fouets dont la finission et la manufacture m'a beaucoup plue: 

http://www.cuirdugevaudan.com/accueil.php

 

celui-ci je l'ai acheté chez un forunisseur américain:

 

http://www.snakewhip.com/catalog1/product_info.php?cPath=34&products_id=101

 

Il faut bien compter 150 à 200 Euros pour l'achat d'un tel instrument mais cet investissement en vaut vraiment la peine


 

 



 

 


Par Clovehitch
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Samedi 31 octobre 6 31 /10 /Oct 18:01

On serait tenté de dire comme de coutume, après une période de calme et la rencontre étonnante de Li, voici qu'une nouvelle soumise arrive.

J'ai bien regretté que Li (Lina1234 sur fetlife.com) vive son noviciat de soumission trop vite et surtout de façon incomplète. C'était vraiment une brave soumise, bien disposée à vivre des moments intenses mais voilà, pour des raisons partiellement perceptibles elle s'en est allée. Nous avons gardé un certain contact mais voici que les échanges se sont espacés. Il ont aussi pris,     récemment, une tournure désagréable avec des accusations inadmissibles et parfaitement gratuites. J'ai coupé court, je ne suis pas ici pour la bagarre: "bye"!

Rencontrée vraiment par hasard sur le chat-bdsm, voici une nouvelle soumise qui se présente à moi.

Elle se nomme Laurie, elle n'a pas encore de nom de soumise. Elle est nouvelle et novice bien que manifestement elle a eu de nombreux contacts sur le chat.

Nous verrons comment les choses évolueront mais évidemment je lui souhaite une relation enthousiasmante, sereine, la plus complète possible.

Mais voilà que les choses s'éclaircissent. Laurie tire son bonheur dans l'échange de messages et d'une relation virtuelle pour laquelle je me refuse définitivement. Etant bientôt à Paris je lui avais proposé de la rencontrer en terrain neutre, dans un café, autour d'un verre, histoire de confirmer... mais elle a refusé cette proposition. Donc... exit Laurie.

Comme dit la chanson... "on the road again"... 

Curieusement je n'en tire aucun amertume, c'est parfois bizzare ces destins que l'on croise et qui finissent par s'estomper dans le lointain de la mémoire, du temps et de la géographie.

Ca, oui, parfois j'y pense avec émotion! Parfois je me demande ce qu'elles font et comment elles ont donné corps à leur passion ou bien l'ont rejeté définitivement.

Il est vrai également que l'on rencontre des gens qui traînent derrière eux des passifs difficiles à gérer, une immaturité adolescente, les motivations sont aussi fort diverses et à la longue apparaissent au grand jour. Les espoirs du début s'envolent. Je n'ai aucune colère, je préfère oublier.

La vie vous réserve assez d'embêtements pour ne pas en rajouter dans ce qui normalement doit vous apporter plaisir et sérénité.

 



 



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Samedi 31 octobre 6 31 /10 /Oct 18:01

On serait tenté de dire comme de coutume, après une période de calme et la rencontre étonnante de Li, voici qu'une nouvelle soumise arrive.

J'ai bien regretté que Li vive son noviciat de soumission trop vite et surtout de façon incomplète. C'était vraiment une brave soumise, bien disposée à vivre des moments intenses mais voilà, pour des raisons partiellement perceptibles elle s'en est allée. Nous avons gardé un certain contact mais voici que les échanges se sont espacés. Il ont aussi pris,     récemment, une tournure désagréable avec des accusations inadmissibles et parfaitement gratuites. J'ai coupé court, je ne suis pas ici pour la bagarre: "bye"!

Rencontrée vraiment par hasard sur le chat-bdsm, voici une nouvelle soumise qui se présente à moi.

Elle se nomme Laurie, elle n'a pas encore de nom de soumise. Elle est nouvelle et novice bien que manifestement elle a eu de nombreux contacts sur le chat.

Nous verrons comment les choses évolueront mais évidemment je lui souhaite une relation enthousiasmante, sereine, la plus complète possible.

Mais voilà que les choses s'éclaircissent. Laurie tire son bonheur dans l'échange de messages et d'une relation virtuelle pour laquelle je me refuse définitivement. Etant bientôt à Paris je lui avais proposé de la rencontrer en terrain neutre, dans un café, autour d'un verre, histoire de confirmer... mais elle a refusé cette proposition. Donc... exit Laurie.

Comme dit la chanson... "on the road again"... 

Curieusement je n'en tire aucun amertume, c'est parfois bizzare ces destins que l'on croise et qui finissent par s'estomper dans le lointain de la mémoire, du temps et de la géographie.

Ca, oui, parfois j'y pense avec émotion! Parfois je me demande ce qu'elles font et comment elles ont donné corps à leur passion ou bien l'ont rejeté définitivement.

Il est vrai également que l'on rencontre des gens qui traînent derrière eux des passifs difficiles à gérer, une immaturité adolescente, les motivations sont aussi fort diverses et à la longue apparaissent au grand jour. Les espoirs du début s'envolent. Je n'ai aucune colère, je préfère oublier.

La vie vous réserve assez d'embêtements pour ne pas en rajouter dans ce qui normalement doit vous apporter plaisir et sérénité.

 



 



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Mercredi 14 octobre 3 14 /10 /Oct 11:13

ephemere.jpg

 

Lors de la première rencontre, Li avait reçu l’ordre de se vêtir d’une minijupe, hauts-talons et petite veste. Embossé entredeux voitures stationnées en face de son immeuble je le vis sortir comme un petit lapereau effarouché. Je la cueillais sur le bord de la route. Assise elle reçu l’ordre d’enlever son string que je fourrai dans ma poche. « Je m’attendais à quelque chose comme ça me dit-elle »…

Le petit appartement que j’avais choisi nous permis de faire connaissance.

Je n’aime pas dominer en habits habituels, le plus souvent je revêts une sorte de combinaison noire, en grande soirée j’aime porter le smoking à nœud papillon. Pour ces moments je passais à li des menottes pour la bloquer dans la cabine de douche. « j’ai eu peur de la douche froide habillé par rapport à mon problème de retard… ouf, non, juste un isolement, une mise en condition. »

Je lui ordonnais de se déshabiller.

Elle fut d’abord enserrée dans un « Ushiro takate kote » habituel, les jambes ouvertes, je découvrais cette vulve très proprement épilée. Elle réagit bien sûr aux caresses.

Li fut ensuite « initiée » aux diverses situations auxquelles une soumise peut être conduite à supporter. Le but était de lui montrer ces pratiques et d’avoir un retour de sa part. Il faut préciser que Li est novice et qu’elle souhaitait savoir ce que le BDSM représentait pour elle, ayant lu une partie de mon blog. Elle m’écrivait : « Beaucoup de questions se bousculaient dans ma tête, vais-je lui plaire? suis-je faite pour? n’est ce pas aller trop loin ? quelles différences entre fantasme et réalité? » Après une mise en condition habituelle, histoire de recentrer le sujet sur sa soumission je lui ai tranquillement expliqué ce qui allait se passer. « le bondage shibari a été pour moi très agréable, de me sentir complétement immobile, à votre merci, délicieux…. les deux bondages ont été d’ailleurs très agréables, le deuxième était différent par la position mais j’ai adoré être coincée la tête en arrière coincée. » Je lui ai ensuite fait sentir quelques épreuves « j’étais tiraillée entre l’envie que ca s’arrête à cause de la douleur et l’envie que sa continu grâce à la stimulation. C’était bon! bizarrement bon! ».

 Puis  j’ai voulu que Li sache que dans une relation BDSM, il arrive que la soumise montre se volonté d’endurer quelques sessions difficiles. Le don de soi étant ce témoignage de volontariat qu’elle donne à son Maître « j’ai goûté au martinet et à la cravache. Le martinet me fut plus agréable que la cravache qui est plus violente, ressentie comme une morsure… hummmm vous savez quand j’y repense j’ai adoré, non pas pour la douleur mais pour l’image de la soumise punie par son maître et du plaisir que je pouvais vous procurer. Parfois, après les coups, je ressentais une douce caresse calmante, apaisante, agréable… . »

La session se termina et je demandai à Li de me dire par écrit ce qu’elle avait ressenti : « Vous avez été doux et en même temps sévère attentionné et en même temps violent, j’ai beaucoup aimé ça … ! J’ai besoin de sévérité et de violence pour la crédibilité, d’affection et de douceur pour me rassurer. C’est ce que j’ai eu. Je suis faite pour la soumission, je suis faite pour le BDSM, histoire à suivre Maître. »

Je dois dire que cette première session m’a beaucoup plu aussi. Li m’a montré une véritable qualité de soumise et m’a apporté vraiment un plaisir que ressent un dom qui voit ses consignes et ses ordres exécutés sans difficultés.

Nous nous vîmes alors pour une seconde session. J’avais pour cette occasion loué une chambre d’hôte que je préparai préalablement. Je lui ordonnais alors de s’habiller avec des habits pas dommages car je voulais procéder à un déshabillage en règle, aux ciseaux. « Vous m'avez arraché mes vêtement comme pour les esclaves avant. J'ai senti de la brutalité à ce moment et j'ai ressenti de la peur, une délicieuse peur que j'aime ressentir… »

Puis j’ai procédé à une épreuve dont je sais qu’elle est parfois fortement ressentie par les soumises, la momification. Elle ne fut pas bien ressentie par Li, ce que je peux comprendre mais évidemment après l’avoir fait. Il est certain que ce fut une indication utile pour moi. En effet, mon plaisir n’est pas contraint par une pratique ou une autre. Par contre elle me précisa :… «ce que je préfère, c'est celle par les insultes, celle qui est plus sexuelle comme la sodomie aussi ou comme quand vous me faites recracher la semence et que vous l'étalez sur mon corps comme un tableau... Ca j'aime beaucoup... Vous m'avez ensuite lacé, j'ai apprécié, j'étais un petit pantin sont on prend quand même soin. » 

Je connais, Li comme une personne volontiers insoumise, un parcours de jeunesse dont je ne saurais expliquer les raisons en seraient les raisons ? Les échanges qui précédèrent cette rencontre ayant été assez ardus je décidai de procéder à une sanction assez sévère : 200 coups de martinet. « je m'attendais à une sanction sévère.  J'ai entendu 100 coups de fouets au début, je trouvais ca énorme mais en fait c'était 200... Là, J'ai eu peur ... Je me suis dit "ok on rigole plus". Une sanction sévère, mais j'aime la sévérité. C'était dur, J'ai vu ici le côté sanction et du coup j'aime de moins en moins ce carnet noir. Parfois j'ai cru ne pas tenir mais j'ai tenu bon du coup j'étais fière… […] … Tout le long j'avais les yeux bandés ! J'ai apprécié car je ne savais pas ce qui allait se passer ensuite, ca c'est le kiffe... ». Lors de cette sanction Li a compté ces coups de martinet. Elle put ainsi m’indiquer quand elle était prête à recevoir le coup suivant. C’était certes dur pour elle mais j’ai aussi été attentif à ses réactions. Le but du Maître est bien sûr d’éviter que la soumise dise la mot de sécurité qui met un terme à la session. Li fut vraiment brave et je l’ai beaucoup admirée pour ce courage et cette volonté !

 Li 8496

La seconde rencontre se termina par le signature de la soumise : une empreinte de vulve accompagnée de sa signature.

 

Cette deuxième rencontre fut encore une fois un plaisir intense, d’un niveau peu égalé précédemment. Je veux dire que dans toutes les sessions que j’ai vécues avec mes soumises, Li est l’une de celle qui s’est le mieux comporté.

Ainsi, à la fin de la rencontre, après avoir reçu le baiser de Li sur mes pieds, je la quittai. C’est vrai aussi que ce dernier au revoir s’encaisse toujours avec difficultés. Cette soumise est vraiment attachante. Ce ne fut pas neutre émotionnellement de la laisser reprendre sa voiture uniquement habillée de ce manteau que j’avais apporté pour remplacer les habits découpés. En fait j’aurais pu la garder plus longtemps mais il est aussi vrai qu’ayant ses règles, elle était indisponible pour le plaisir sexuel qu’elle aime tant.

Ce fut probablement une erreur, car en fait elle ne perçût pas les sentiments que je générais envers elle. Ce fut en tous cas ce que j’interprétai plus tard.

Est-ce la raison des échanges plus durs qui suivirent par le biais d’internet ? C’est possible.

Nous nous vîmes alors une troisième fois, dans son appartement.

 

Ce ne fut pas si facile de la revoir. Je ne savais pas du tout comment les choses allaient évoluer car les mots et les propos avaient pris un ton parfaitement déplacés. Je l’accueillais donc avec froideur, sans rien dire d’autre que « Bonjour Li ». Une fois chez elle, je lui demandais de s’agenouiller et d’enlever ses lunettes en lui disant « enlève tes lunettes, t’en a pas besoin pour parler ». Je lui filais alors deux claques assez bien senties en haussant le ton et de lui demander « c’est quoi cette façon de t’adresser à un Maître,… ça va pas ?, on fait quoi maintenant ? t’en est où ? » Elle ne répondit rien. Puis, à force d’insister, elle me répondit : « je ne sais pas ». J’étais à deux doigts de repartir d’autant plus que je n’avais rien pris avec moi (le matériel). Je dois aussi avouer que j’étais assez en colère, une colère froide et totalement maîtrisée. Finalement elle inclina à me dire… « restez ».

 

Je suis souvent revenu sur cette épisode qui, je le dis très clairement ne m’a pas plu du tout car il a été à l’envers de ma conception de la domination. Je n’ai jamais aimé les échanges durs comme ceux que nous avions eu. A l’analyse rétrospective je le regrette. Aurais-je du agir autrement, c’est une question à la quelle je ne sais pas répondre. J’aurais peut être dû ignorer et la reprendre plus délicatement, sans varier, in fine, à ma détermination. J’aurais dû choisir une autre méthode. Elle m’avait écrit : « Quand je vous ai vu, j'ai repéré que ce n'était pas une colère "pour jouer" mais une véritable colère, j'ai perdu mes moyens j'ai eu un peu peur de votre réaction. Il est vrai que pour moi ca reste tout de même un jeu ... ».

Je me suis demandé si je n’avais pas été assez clair pour lui expliquer que le « bdsm sous forme de jeu »  ça reste une illusion. L’esprit, le mental, l’affectif, le corps restent quand même sollicités et parler de jeu c’est ignorer cela.

C’est vrai que dans le langage habituel on parle de jeu. J’ai jamais aimé ce vocabulaire.

Peut être aussi que Li est affamée d’affection et exprime ce besoin à sa manière. Parfois de façon trop juvénile voire enfantine. Je ne saurais, aujourd’hui lui en vouloir. C’est son histoire à elle, avec laquelle je dois aussi compter. Probablement aussi que ce manque s’exprime chez elle par cette envie de vivre des rapports sexuels étroits comme elle l’exprima dans son dernier texte : « Vous m'avez aussi pénétré, ca faisait longtemps que j'attendais ça, vous en moi, entièrement ..., j'ai beaucoup aimé ce moment et vous êtes allé en douceur pour l'anus. Miam... j'ai adoré quand vous m’avez sodomisée et que vous me caressiez en même temps, je ne me sentais plus ^^ ».

Les jours ont passé et diverses circonstances ont fait que Li qui s’était portée volontaire ne l’a plus été. Elle me demanda une pause, en tous cas pour un moment. Etudes, solitude, distance aussi avec moi, incertitudes, l’ont poussé à mettre une sourdine à cette relation. Elle a une relation avec un « voisin ». Je lui l’ai dit, son plaisir à elle prime, tout en étant très dubitatif sur les manières de ce compagnon.

 

J’ai toujours répété et insisté sur le volontariat. J’ai donc parfaitement admis cela de la part de Li.

Nous avons encore eu une occasion de visiter un munch organisé en ville. Pour cette occasion je me suis déplacé tout exprès. J’avais aussi envie de lui parler. Nous nous y sommes rendus, en tout bien tout honneur. Elle pu ainsi rencontrer d’autres adeptes et de cette façon recevoir des réponses à ses questions et probablement aussi de recevoir des réponses d’autre bouches. Pour la première fois, et je dirais en toute amitié, je l’embrassais au moment de repartir de sa maison. Un nouveau moment difficile pendant lequel, une fois saluée, je m’en suis allé sans me retourner. Trop dur !!!

 Li 4914

Et donc que devient le Maître après tout cela ? Je dois bien avouer que si cette relation ne peut pas être qualifiée de ratée, elle est restée en points de suspension. Y aura-t-il une suite ? Je ne peux pas être péremptoire. Tout dépendra des circonstances. Je dois aussi relever que la forme, si dans le fond, reste purement BDSM, j’ai constaté que Li ne semble pas encore avoir assimilé la différence entre vie « vanille » et vie BDSM. Cela m’a donc laissé penser que si nous avions continué j’aurais dû être plus en empathie sur ce côté-là. Est-ce une réalité, est-ce une supposition erronée ? Il est aussi probable que son besoin d’affection en est aussi la cause.

Avouons tout de même que si le contact n’est pas interrompu, il reste quand même un petit goût de « reviens-y » que seul l’avenir m’apportera la réponse.

Li, est-elle une éphémère ?

Non, il a pas fallut attendre longtemps, cette fois-ci c'est clair! Elle a rencontré un couple (dom-soumise) dimanche lors d'un munch à Lyon. Sans attendre le contact est pris pour des sessions à 3... la soumise est bisexuelle. Elle hésite bien sûr mais je commence à bien la connaître. En plus elle m'a répondu: "il y a eu trop d'éléments divergents".

Alors, malgré ses explications pour arrêter la pratique du BDSM... "j'aurais peu de temps, mes études...." m'écrivait-elle, la voilà sur le point de poursuivre son chemin pour d'autres aventures.

Pas de soucis, bon vent, Li! Je garde de toi un souvenir magnifique mais maintenant tu  as disparu et tu es redevenue Angeline. Bye l'éphémère!

 

End of the story.


 

NB: L'éphémère ne vit que quelques heures et en profite pour s'accoupler en plein vol. 

 

 


 

Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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Mardi 7 janvier 2 07 /01 /Jan 13:06
- Niveaux des jeux BDSM.

MON AMOUR QUE PENSES-TU DE CE CLASSEMENT ? jE PENSE QUE NOUS SOMMES EN TRAIN DE PASSER TRANQUILLEMENT VERS LE NIVEAU TROIS, NON ?
JE SUIS NOUVELLES DE TOI, JE PENSE QUE SOIT TU ES ENCORE SUR LA ROUTE, SOIT TON ORDINATEUR TE JOUE ENCORE DES TOURS...JE NE VAIS PAS TARDER A ME COUCHER MAIS J AURAIS VOULU ECHANGER AVEC TOI.
  Niveau 1- Jeux à peine de la SM : Fessées, pincements et mordillements légers. Absence quasi totale d'instruments et de scénario.
 
  Niveau 2- Le SM léger : Apparition des liens, des premiers instruments de flagellations, et éventuellement de pinces. Petites contraintes. Scénario possible mais souvent primaire.
 
  Niveau 3- Le SM moyen ou classique : Élaboration d'un scénario type: je suis le/la Maître/sse, tu es mon esclave et je te punis ! Utilisations systématiques d'instruments de flagellations, de pinces et d'attaches. Apparitions de pratiques insolites comme orties, bougies. Permanence du fétichisme. Présence fréquente de tierces personnes. Relations homosexuelles forcées. Humiliations légères, comme marcher à 4 pattes, etc. Cire de bougie. Jeux avec godes. Jeux uro. Par contre sont prohibés à ce niveau toutes pratiques qui feraient apparaître du sang.
 
  Niveau 4- Le SM limite : Aiguilles et donc sang, étouffements, strangulation contrôlée, électricité, zoophilie, inavouables... marquage, scarification...
• 19 -Quelle place prend la sexualité dans votre vie ?
   a) -J’aimerais avoir des rapports sexuels le plus souvent possible. Dans une relation stable, je n’en ai           jamais assez.
   b) -J’aime le sexe, mais il y a aussi d’autres aspects tout aussi importants dans la vie. Dans une relation stable, j’aimerais avoir des rapports sexuels tous les deux jours environ.
   c) -Je me considère dans la moyenne. Dans une relation stable, j’aimerais avoir des rapports sexuels environ trois fois par semaine.
   d) -Une fois par semaine me suffit.
   e) -Je peux vivre pratiquement sans relations sexuelles. Le sexe n’est pas une priorité dans ma vie.

HUM, JE NE PEUX PAS NIER QUE JE SUIS SEXUELLE, QUE J'AIME CELA...JE POURRAIS LE FAIRE DES HEURES, MAIS IL EST CERTAIN QUE DANS UNE RELATION STABLE, JE SERAIS SATISFAITE SEXUELLEMENT ET DONC CERTAINEMENT MOINS DEMANDEUSE. EN MÊME TEMPS PLUS JE PRATIQUE, PLUS J'AI ENVIE.
 
 • 20 -Si vous aviez à être puni-e, quelle punition serait le meilleur incitatif à ne pas renouveler ?
   a) -Sermon.
J'AI PASSE L'ÂGE
   b) -Humiliation.
OUI, SI ELLE EST DANS LA RELATION BDSM, CELA FAIT PARTIE DE CE QUE J AIME
   
c) -Douleur
.IDEM QUE POUR L HUMILIATION. TOUTES LES DEUX FONT PARTIE DE MA CONDITION DE SOUMISE
   d) -Gratification retardée.
   e) -Rejet.
NON, LA PAR CONTRE CELA SERAIT POUR MOI TROP DOULOUREUX ET JE CESSERAIS D'AVOIR CONFIANCE ET JE PENSE QUE JE METTRAI BEAUCOUP DE TEMPS POUR M'EN REMETTRE.
 
 • 21 -Comment vous en tirez-vous dans les tâches suivantes ?
   a) -Cuisine.
   b) -Bonnes manières/ étiquette.
   c) -Art de la conversation.
   d) -Tâches ménagères.
   e) -Entretien des vêtements/ chaussures.
   f) -Manucure/ pédicure.
   j) -Massage.
   h) -Soins esthétiques.
DANS TOUTE JE SUIS MOYENNE, ET JE DOIS PROGRESSER.
 
 • 22 -Comment voulez-vous que je m’adresse à vous durant une séance, à part les formalités d’usage ?
j'AIME QUE MON MAÎTRE ME NOMME PAR MON PRENOM, MAIS JE NE SERAIS PAS CONTRE DES INSULTES SUR MA CONDITION, OU DES PHRASES UN PEU RUDES MAIS JE SAIS QUE LUI NE LES AIME PAS.
 
 • 23 -Vous attendez-vous à des règles et à des attentes formelles, ou voyez-vous cela comme un aspect qui se développera à mesure que nous apprendrons à nous connaître ?
AU FUR ET A MESURE NOUS NOUS CONNAISSONS MIEUX, ET J'AIME L ASPECT LIBRE QUE PEUT PRENDRE UNE SEANCE MAIS AUSSI QUE DES REGLES ME CADRENT...NOUS PASSONS SOUVENT NOTRE RELATION DANS LA PREMIERE FORME, MAIS POUR CE WEEK END C EST LA SECONDE QUI SERA POUR LA PREMIERE FOIS MISE EN PLACE. AUPARAVANT, DE ME DIRE CE QU IL ALLAIT SE PASSER ME FAISAIT PEUR, ME BLOQUAIT. MAINTENANT MOINS, CELA COMMENCE A ME FAIRE FANTASMER. MAIS J AIME QUAND MON MAÎTRE RESTE AUSSI PLEIN DE SURPRISES, ME DEMANDANT CE QU IL ME MIJOTE ET COMMENT JE VAIS ÊTRE DEVOREE.
 
 • 24 -Aimez-vous les costumes ? Quel costume joue le plus important rôle dans vos fantasmes ?
NON JE NE SUIS PAS COSTUME (PONY GIRL EST UN DEGUISEMENT POUR MOI, MÊME SI LE FAIT D'ÊTRE DRESSEE ET OBEISSANTE ME PLAIT...PEUT ÊTRE PEUT ON FAIRE DU DRESSAGE SANS DEGUISEMENT ?) . CE QUE JE PREFERE CE SONT LES DESSOUS SEXY, LES BELLES ROBES ET SURTOUT ÊTRE NUE, OFFERTE, SOUMISE, HUMILIEE, APPARTENANT  A MON MAÎTRE TOTALEMENT.

25 -Quelle est votre position favorite dans vos rapports sexuels ?
TOUTES CELLES OU JE SUIS SOIT TRES PROCHE DE MON MAÎTRE, SOIT PENDANT LESQUELLES JE PEUX ÊTRE FRAPPEE, SOIT CELLES QUI SONT HUMILIANTE (SUR LES GENOUX LA TÊTE TENUE FORTEMENT VERS LE BAS, EN SODOMIE)
 
 • 26 -Quel est votre mets favori ?J
JE SUIS GOURMANDE DE CHOSES SIMPLES MAIS BONNES, UN BON FRUIT, DU BON PAIN, QUELQUES NOIX...
 
 • 27 -Quelle est la bonne réponse à la question : Est-ce que cette robe me fait paraître plus grosse ?
JE SUIS LE MAÎTRE ET JE TE DEMANDE DE LA METTRE, METS TOI A QUATRE PATTES POUR RECEVOIR TA PUNITION, UNE PENETRATION SANS PREPARATION, TU AIMES J ESPERE.
 
 • 28 -Décrivez-moi ce que vous imaginez être une journée type dans ma vie ?
MELANGER TOUT CE QUE J'AIME AVEC Maître FRANCOIS, NOS DISCUSSIONS, NOTRE TENDRESSE, NOS SEANCES BDSM, NOS LUTTES POUR RIGOLER, NOS DECOUVERTES, NOS CAFES, NOS JOIES, ME FAIRE BELLE EN PENSANT A LUI, FAIRE L AMOUR INTENSEMENT, AVOIR DES PROJETS, LE MASSER, TROUVER SES CHAUSSETTES VRAIMENT TROP MOCHE ET L AIMER
 
 • 29 -Quel genre de personne vous considérez-vous ?
ACTIVE, FRAGILISEE PAR LA VIE, RENDUE PLUS FORTE PAR LA VIE, TOUJOURS EN QUESTIONNEMENT, CHERCHANT TOUJOURS  A FAIRE MIEUX, DONC JAMAIS SATISFAITE DE MOI,PAS VRAIMENT FACILE MAIS SI JE SUIS EN CONFIANCE CAPABLE DE BEAUCOUP DE TENDRESSE ET D AMOUR
 
 • 30 -Quelles activités vous attirent à part des activités BDSM ?
...
 LA LECTURE
 • 31 -En pourcentage, combien laissez-vous de pourboire quand vous allez au restaurant ?
JE NE SAIS PAS 5 % PEUT ÊTRE, CELA DEPEND SURTOUT DE LA QUALITE DU REPAS ET DU SERVICE, JE PEUX NE RIEN DONNER SI JE SUIS DECUE OU PLUS SI JE SUIS RAVIE
 
 • 32 -Avez-vous fait des études supérieures ? Dans quel domaine ?
OUI, COMME INFIRMIERE
 
 • 33 -Quel genre d’enfance avez-vous passée ? Quelle relation entretenez-vous avec vos parents ?
COMME TOUT LE MONDE, AVEC DES MOMENTS PLUS OU MOINS SYMPATHIQUES. jE VOIS MA MERE ET MON PERE MAIS PAS MON GENITEUR...UN PEU COMPLIQUEE COMME FAMILLE EN FAIT
 
 • 34 -Aimez-vous les enfants ? En avez-vous ?
...
 
 • 35 -Dans quels secteurs de votre vie excellez-vous ?
....
 
 • 36 -Dans quels secteurs avez-vous besoin de vous améliorer ?
TOUS
 
 • 37 -Si vous pouviez changer un aspect de vous, quel serait-il ?
MA COLERE, DEVENIR SAGE ET APAISEE SANS ÊTRE LOBOTOMISEE.
 
 • 38 -Que faites-vous dans vos loisirs ?
JE PASSE DU TEMPS AVEC MES ENFANTS ET MON AMOUR, MON MAÎTRE, MES AMIS (SURTOUT PAR TELEPHONE MAINTENANT DEPUIS MON DEMENAGEMENT)ET MA FAMILLE
 ET MA FAMILL
 • 39 -Jouez-vous à des jeux d’adresse ? Lesquels ? Gagnez-vous ?
NON
 
 • 40 -À quelle fréquence consommez-vous de l’alcool ?
UNE A DEUX FOIS PAR SEMAINE SI JE SUIS INVITEE OU RECOIS DU MONDE
 
 • 41 -Fumez-vous la cigarette ?
DEUX PAR AN EN MOYENNE, SURTOUT APRES LES ENTERREMENTS.

 • 42 -Avez-vous des problèmes médicaux, compris maladie mentale, dont je devrais être au courant ?
JE SOUFFRE DE FACON VARIABLE DE PLUSIEURS ARTICULATIONS, SUITE A DES ENTORSES, LUXATIONS...MENTALEMENT JE SUIS PESSIMISTE, MAIS J'Y TRAVAILLE. LA VIE M A PARFOIS UN PEU TROP GATEE DU COUP J ATTENDS SOUVENT, QUAND TOUT VA BIEN, LE REVERS DE LA MEDAILLE.
 
 • 43 -Quel est le mot que vous employez pour faire interrompre une séance ou une activité-safeword ?
jE N'EN AI PAS ENCORE, MON MAITRE EST VIGILENT, MAIS SI JE METS LES MAINS IL FAUT ARRETER C'EST QUE JE NE PEUX PLUS. JE PENSE QUE "STOP" SERAIT CE MOT.
 
 • 44 -On vous bande les yeux, on vous déshabille, on vous enfile un collier assorti d’une laisse. On vous mène lentement dans une autre pièce et on vous fait agenouiller. On vous retire le bandeau qui recouvrait vos yeux et vous vous retrouvez aveuglé par une lumière vive pendant quelques instants. À mesure que vous retrouvez la vue, décrivez ce que vous voyez et ce qui s’ensuit.
IL Y A UNE TABLE OU JE VAIS ÊTRE ATTACHEE, DES BOUGIES, DES FOUETS ...JE SUIS GUIDEE SUR CELLE CE, BAILLONNEE, FOUETTEE, LA CIRE COULE SUR MOI, DES PINCES SONT ACCROCHEES PARTOUT, JE NE PEUX PAS BOUGER, ET MON MAÎTRE ME MURMURE A L'OREILLE, "FLO ES TU PRÊTE ?"...LA SEANCE DURE CAR JE LE SOUHAITE AUSSI, PUIS JE PRENDS SON SEXE EN BOUCHE TOUJOURS LIGOTEE, IL LE RENTRE JUSQU A LA GARDE EN ME PRENANT PAR LES CHEVEUX PUIS EJACULE DANS UN CRI DE JOUISSANCE SUR MA PEAU MEURTRIE. IL PREND UNE GOUTTE DE SON SPERME AVEC SES DOIGTS ET ME FAIT LES LECHER...ET JE LE REMERCIE DE CELA ENCORE ET ENCORE. MERCI MON MAÎTRE
 
 • 45 -Combien de fois avez-vous fait une pause durant ce questionnaire ?
4 FOIS JE CROIS AU TOTAL
 
 • 46 -Y a-t-il d’autres aspects que je devrais savoir à votre propos avant de discuter séance ?
OUI, J AIMERAIS TROUVER UNE LISTE DE TOUTES LES PRATIQUES BDSM ET POUVOIR EN PARLER ET VOIR NOTRE EVOLUTION AU FIL DU TEMPS

• 19 -Quelle place prend la sexualité dans votre vie ?
   a) -J’aimerais avoir des rapports sexuels le plus souvent possible. Dans une relation stable, je n’en ai  jamais assez.
   b) -J’aime le sexe, mais il y a aussi d’autres aspects tout aussi importants dans la vie. Dans une relation stable, j’aimerais avoir des rapports sexuels tous les deux jours environ.
   c) -Je me considère dans la moyenne. Dans une relation stable, j’aimerais avoir des rapports sexuels environ trois fois par semaine.
   d) -Une fois par semaine me suffit.
   e) -Je peux vivre pratiquement sans relations sexuelles. Le sexe n’est pas une priorité dans ma vie.

HUM, JE NE PEUX PAS NIER QUE JE SUIS SEXUELLE, QUE J'AIME CELA...JE POURRAIS LE FAIRE DES HEURES, MAIS IL EST CERTAIN QUE DANS UNE RELATION STABLE, JE SERAIS SATISFAITE SEXUELLEMENT ET DONC CERTAINEMENT MOINS DEMANDEUSE. EN MÊME TEMPS PLUS JE PRATIQUE, PLUS J'AI ENVIE.
 
 • 20 -Si vous aviez à être puni-e, quelle punition serait le meilleur incitatif à ne pas renouveler ?
   a) -Sermon
.J'AI PASSE L'ÂGE

   b) -Humiliation.
OUI, SI ELLE EST DANS LA RELATION BDSM, CELA FAIT PARTIE DE CE QUE J AIME

   c) -Douleur.
IDEM QUE POUR L HUMILIATION. TOUTES LES DEUX FONT PARTIE DE MA CONDITION DE SOUMISE

   d) -Gratification retardée.
   e) -Rejet.
NON, LA PAR CONTRE CELA SERAIT POUR MOI TROP DOULOUREUX ET JE CESSERAIS D'AVOIR CONFIANCE ET JE PENSE QUE JE METTRAI BEAUCOUP DE TEMPS POUR M'EN REMETTRE.
 
 • 21 -Comment vous en tirez-vous dans les tâches suivantes ?
   a) -Cuisine.
   b) -Bonnes manières/ étiquette.
   c) -Art de la conversation.
   d) -Tâches ménagères.
   e) -Entretien des vêtements/ chaussures.
   f) -Manucure/ pédicure.
   j) -Massage.
   h) -Soins esthétiques.

DANS TOUTE JE SUIS MOYENNE, ET JE DOIS PROGRESSER.
 
 • 22 -Comment voulez-vous que je m’adresse à vous durant une séance, à part les formalités d’usage ?

j'AIME QUE MON MAÎTRE ME NOMME PAR MON PRENOM, MAIS JE NE SERAIS PAS CONTRE DES INSULTES SUR MA CONDITION, OU DES PHRASES UN PEU RUDES MAIS JE SAIS QUE LUI NE LES AIME PAS.
 
 • 23 -Vous attendez-vous à des règles et à des attentes formelles, ou voyez-vous cela comme un aspect qui se développera à mesure que nous apprendrons à nous connaître ?

AU FUR ET A MESURE NOUS NOUS CONNAISSONS MIEUX, ET J'AIME L ASPECT LIBRE QUE PEUT PRENDRE UNE SEANCE MAIS AUSSI QUE DES REGLES ME CADRENT...NOUS PASSONS SOUVENT NOTRE RELATION DANS LA PREMIERE FORME, MAIS POUR CE WEEK END C EST LA SECONDE QUI SERA POUR LA PREMIERE FOIS MISE EN PLACE. AUPARAVANT, DE ME DIRE CE QU IL ALLAIT SE PASSER ME FAISAIT PEUR, ME BLOQUAIT. MAINTENANT MOINS, CELA COMMENCE A ME FAIRE FANTASMER. MAIS J AIME QUAND MON MAÎTRE RESTE AUSSI PLEIN DE SURPRISES, ME DEMANDANT CE QU IL ME MIJOTE ET COMMENT JE VAIS ÊTRE DEVOREE.
 
 • 24 -Aimez-vous les costumes ? Quel costume joue le plus important rôle dans vos fantasmes ?
NON JE NE SUIS PAS COSTUME (PONY GIRL EST UN DEGUISEMENT POUR MOI, MÊME SI LE FAIT D'ÊTRE DRESSEE ET OBEISSANTE ME PLAIT...PEUT ÊTRE PEUT ON FAIRE DU DRESSAGE SANS DEGUISEMENT ?) . CE QUE JE PREFERE CE SONT LES DESSOUS SEXY, LES BELLES ROBES ET SURTOUT ÊTRE NUE, OFFERTE, SOUMISE, HUMILIEE, APPARTENANT  A MON MAÎTRE TOTALEMENT.

Par Clovehitch - Publié dans : La vie du Maître
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Vendredi 20 septembre 5 20 /09 /Sep 22:37

Mon propos restera secret, discret. J'ai en effet été le témoin d'une relation entre une soumise et un dom lequel utilisant les artifices caricaturaux du BDSM a réussi à emmener sa soumise sur les chemins de la prostitution.

L'idyle, car c'en est une, a commencé par une relation qui n'avait pas de caractère de domination/soumission. Celle-ci glissa par la volonté du dominateur dont les idées sexuelles étaient manifestement bien ancrées dans sa tête.

Tous d'abord la relation se souligna par un très fort attachement, en tous cas de la soumise, pour son Maître. 

Par contrat signé, le dominateur exigea de la part de sa soumise qu'elle lui donne tout ce qu'elle avait. "Je possède tout d'elle affirma-t-il". Dans le contrat il exigeait aussi que le don d'elle même devait être sans limites et de préciser que le 80% de ce qu'elle gagnait devait lui revenir.

En fait ces gains devaient se faire, initalement, par des pipes. Ces fellations ont donc commencé dans un club de nuit où la fille devait les accomplir dans un coin discret. Jeune, inexpérimentée, elle se lança dans cette aventure.

Des premières fellations, gagnant quelques 50 euros par passe, elle ne reversait donc le 80% a son Maître qui recevait sur son compte en banque sa part. Plus tard les fellations devinrent des passes complètes a¨comprenant aussi la sodomie et des pratiques SM.

Poursuivant dans cette direction le dom lui donna ensuite la consigne de rechercher des clients par le biais de petites annonces. Les clients venaient alors chez elle. Par le biais d'un téléphone spécial avec un numéro particulier, cette soumise, recevait donc ses clients.

Plus loin, son Maître, toujours à distance, l'a contrainte à fréquenter une maison close située dans la même ville qu'elle. S'y rendant le samedi soir, elle se donnait à des clients, fréquentant ce club de nuit, faisant entre 3 et 5 clients par nuit. Rentrant vers 5 h du matin la fille se douchait et se couchait pour dormir jusque vers midi le dimanche. Ses 200 ou 300 euros partaient ensuite vers son dom qui manifestement avait trouvé un excellent moyen de se faire du fric sans beaucoup se bouger, en parfait maquereau.

Tombée soudain au chômage, la soumise commença à creuser  son budget. Le hasard voulu que je la rencontre. Utilisant alors sa journée, la fille se présenta alors à une autre maison spécialisée qui l'accueillit avec plaisir. Chaque jour, jusqu'au milieu de la soirée elle se mit à disposition des clients, les uns sympas et compréhensifs, les autres brutaux ou sales.

 

L'alarme commença à sonner, le trou financier devenu trop gros, les exigences du "Maître" restant inflexibles.

La rupture et la révolte mirent fin à cette soumission. La soumise poursuivant cependant sa relation amoureuse avec son dom. La relation évolua alors dans une attache "vanille" dans laquelle, les actions de prostitution devaient être bannies.

Fuyant alors le pays dans lequel elle avait connu cette relation la soumise disparut pour refaire sa vie, avec un nouveau travail. Comment tout ceci évoluera-t-il c'est la question!

Vu de l'extérieur cette histoire appelait évidemment quelques commentaires précis:

• la prostitution accomplie ici n'avait rien à voir avec une soumission dans l'esprit du BDSM.

• l'exploitation de cette prostitution ressort du droit pénal (les versements bancaires pourraient en faire foi).

• il est assez surprenant et même incompréhensible qu'après avoir vécu cette exploitation la fille demande à aimer son Maître.

• on peut se demander si cette action n'est pas admise par la soumise comme une action de soumission totale. C'est ainsi qu'on peut le percevoir et on ne peut pas l'exclure, par contre si cela doit être le cas, alors la relation entre dom et soumise doit être d'une telle proximité que même pas une feuille de cigarette doit passer entre elle et lui. Dans le cas sus-mentionné ce n'était pas le cas. 

• un dom doit prendre soin de sa soumise et l'exposer dans le cadre d'une prostitution aux MST au risque de sa santé voir plus n'est pas compatible à cette responsabilité. L'intéressée avait finit par le percevoir quand soudain elle fut contaminée par le virus de l'herpès génital.

• dans cette histoire que je considère autant poignante que tragique on peut souligner que seul un accompagnement proche permet de sauver la personne. L'attachement à son tortionnaire m'a toujours paru incompréhensible même en sachant que cela arrive assez souvent.

Cette personne est maintenant sortie de cette situation de soumission extrême. Bien qu'elle continue à garder une petite relation avec ce pseudo-dom elle a réussi à s'en défaire c'est à dire à cesser son activité de prostituée, de trouver un travail fixe et de retrouver, petit à petit un semblant de sérénité affective.

 

De récentes nouvelles confirment que cette aventure est terminée. Ayant rencontré un homme un peu plus respectueux, dom aussi au demeurant, elle retrouve un équilibre affectif et le respect. Travaillant de nouveau dans une société elle se reconstruit petit à petit.

Au dernières nouvelles elle dû encore changer de société, mais ses compétences lui ont permis de retrouver bien vite une nouvelle place.


 

Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 08:30

Lundi soir je serai en voyage mais je me connecterai sur skype pour passer un moment privilégié avec Valou.

Nous l'avons fait régulièrement, notament quand au gré de ses déplacements professionnels, Valérie se trouve dans une chambre d'hôtel, seule et libre.

Nous avons eu des sessions de ce type très réussies mais aussi parfois ratées par le fait d'une mauvaise connexion wifi ou aussi, et hélas c'est parfois arrivé, par l'absence d'invités.

En effet, lors de ces sessions nous invitons des amis qui partangent notre passion bdsm et qui sont aussi d'accord de se passer de caméra pour échanger avec nous. Il est arrivé que ces invités restent quelques instants amis s'en vont car la connexion ne passe pas par la caméra ou bien aussi parfois parce que leurs conditions personnelles ne leur permettent pas de rester en ligne (présence d'une tierce personne, épouse non complice, etc.)

Comment se déroulent ces sessions?

 

Tout d'abord il s'agit de régler la connexion entre les divers invités, Valou et moi-même. Parfois cela demande un peu de patience jusqu'à ce que tout le monde soit sur le même canal. Ensuite nous passons aux présentations.

Valou est au centre de ces sessions et les uns après les autres ils demandent à Valou de se présenter en posant des questions sur son physique, sur sa façon de vivre sa passion, sur la relation qu'elle entretien avec son Maître, sur ses expériences aussi. Valérie vit cette forme de vie intime depuis quatre bonnes années et elle a accompli plusieurs sessions avec son ancien Maître ou avec moi-même qu'elle peut raconter en donnant des détails.

Parmi ces expériences citons (et la liste est loin d'être exhaustive):

• son stage de pony girl

• son port du string de discipline

• son service de table lors de soirées chez Paul

• ses épreuves lors de soirées (pinces sur les seins, concours de traction, le cheval espagnol, son cheminement nue dans la rue)

 

Ces présentations étant faites, chacun est invité à s'adresser à elle pour lui demander d'exécuter une épreuve. Tout d'abord nous ordonnons à Valou de se mettre nue ou de se mettre dans une certaine tenue.

 

Il faut aussi savoir que  je demande à Valou d'emporter:

• sa cordelette pour faire son string de discipline ou pour se flageller

• des pinces à placer sur ses tétons ou ses lèvres ou encore ailleurs

• des punaises de bureau (que je fais parfois placer dans son soutien gorge)

• ses boules de geisha

• une bougie

et donc à chaque invité d'utiliser l'un ou l'autre de ces équipements.


Chaque invité peut lui demander d'exécuter l'un ou l'autre de ses épreuves destinées essentiellement à nous montrer son obéissance et sa volonté de soumission.

Evidemment j'attends que les uns et les autres prennent la balle au bond pour qu'il y ait une continuité entre ce que demande le premier, le second et le troisième. Par exemple si on ordonne à Valou d'enfoncer ses boules de geisha dans sa vulve, le second peut lui demander de lier son string ce qui aura pour effet d'enfermer les boules de façon sûre; le troisième pourra lui ordonner d'effectuer des mouvements de danse ce qui aura pour effet de faire bouger les billes de ses boules de geisha, etc. mais chacun est libre d'imaginer ce que bon lui semble et de pousser Valou aux limites de ce qu'elle peut faire.

 

On termine volontiers ces sessions en ordonnant à Valou de se faire jouir. Parfois et selon la situation de chacun vous pouvez indiquer ce que vous faites avec votre sexe, idéalement de vous masturber en même temps pour que les jouissances se coordonnent.

Quelques fois nous avons eu une soumise comme invitée et ça été l'occasion de réaliser, virtuellement bien sûr un contact bisexuel avec Valou.

Comme cela a été évoqué au début, l'absence de caméra en déçoit plus d'un. Je peux affirmer, par expérience, que Valou est honnête et exécute vraiment ses épreuves. La déception porte aussi sur la non vision de cette merveilleuse esclave qui vit sa passion avec son Maître de façon forte et vraie. Ma foi cet inconvénient sera corrigé à la première occasion.

Bonne session à tous et bravo Valou, je suis fier de toi!


Par Clovehitch - Publié dans : Informations
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