Histoires

Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 17:38

Récemment je me suis rendu aux USA pour des raisons professionnelles. Le soir je répondis à une invitation d'un club BDSM auquel j'appartiens et notamment avec des amis de ce club. Il s'agissait d'une rencontre associée à une sorte de munch. Après quelques conversations et avec un groupe nous sommes partis en direction de la campagne voisine empruntant d'abord de larges autoroutes puis sur des routes similaires à celle que nous connaissons en Europe.

La ferme était situé en rase campagne. En entrant dans un sorte de salle genre bistrot, et par un accueil fort cordial, je me mis rapidement à l'aise. En discutant avec les gens présents, la plupart habillés en noir, je m'approchais d'une fille isolée, tondue d'ailleurs, et entamais avec elle une discussion de présentation quelque peu banale. J'appris en fait qu'elle devait se produire pour une session filmée et organisée par Bren Scott que l'on appelle habituellement "PD" ce qui en français sonne un peu bizarre... il est vrai que c'est de la langue anglaise.

Nous nous rendîmes dans une sorte de grande halle aux murs en bois.

C'est ainsi que je fus invité et associé à la session de cette soumise très maso d'ailleurs. Elle reçut ainsi une longue volée de fouet de type snakewhip, très fins. J'eus ce plaisir, je dirai même ce privilège de manier ce fouet. Peu après ce tout de chauffe, la session et le tournage commença et cette fois-çi les 4 assistants marquèrent le corps de cette fille avec leurs fouets et dans le cadre du film tourné par cette société de production.

N'étant pas membre du team, bien sûr je restai en retrait avec mes amis de KFE et goûtais au spectacle, il faut dire très excitant.

Cette séquence du tournage terminé et après une assez longue discussion sur la façon dont la soumise endura cette session. La suite des prises d'image se préparait. L'heure avançant, tout le groupe KFE et moi-même avons quitté cette ferme et sommes rentrés, après une assez longue route, sur mon hôtel habituel.

Ce fut un super moment privilégié.

 

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Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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Mercredi 14 octobre 3 14 /10 /Oct 11:13

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Lors de la première rencontre, Li avait reçu l’ordre de se vêtir d’une minijupe, hauts-talons et petite veste. Embossé entredeux voitures stationnées en face de son immeuble je le vis sortir comme un petit lapereau effarouché. Je la cueillais sur le bord de la route. Assise elle reçu l’ordre d’enlever son string que je fourrai dans ma poche. « Je m’attendais à quelque chose comme ça me dit-elle »…

Le petit appartement que j’avais choisi nous permis de faire connaissance.

Je n’aime pas dominer en habits habituels, le plus souvent je revêts une sorte de combinaison noire, en grande soirée j’aime porter le smoking à nœud papillon. Pour ces moments je passais à li des menottes pour la bloquer dans la cabine de douche. « j’ai eu peur de la douche froide habillé par rapport à mon problème de retard… ouf, non, juste un isolement, une mise en condition. »

Je lui ordonnais de se déshabiller.

Elle fut d’abord enserrée dans un « Ushiro takate kote » habituel, les jambes ouvertes, je découvrais cette vulve très proprement épilée. Elle réagit bien sûr aux caresses.

Li fut ensuite « initiée » aux diverses situations auxquelles une soumise peut être conduite à supporter. Le but était de lui montrer ces pratiques et d’avoir un retour de sa part. Il faut préciser que Li est novice et qu’elle souhaitait savoir ce que le BDSM représentait pour elle, ayant lu une partie de mon blog. Elle m’écrivait : « Beaucoup de questions se bousculaient dans ma tête, vais-je lui plaire? suis-je faite pour? n’est ce pas aller trop loin ? quelles différences entre fantasme et réalité? » Après une mise en condition habituelle, histoire de recentrer le sujet sur sa soumission je lui ai tranquillement expliqué ce qui allait se passer. « le bondage shibari a été pour moi très agréable, de me sentir complétement immobile, à votre merci, délicieux…. les deux bondages ont été d’ailleurs très agréables, le deuxième était différent par la position mais j’ai adoré être coincée la tête en arrière coincée. » Je lui ai ensuite fait sentir quelques épreuves « j’étais tiraillée entre l’envie que ca s’arrête à cause de la douleur et l’envie que sa continu grâce à la stimulation. C’était bon! bizarrement bon! ».

 Puis  j’ai voulu que Li sache que dans une relation BDSM, il arrive que la soumise montre se volonté d’endurer quelques sessions difficiles. Le don de soi étant ce témoignage de volontariat qu’elle donne à son Maître « j’ai goûté au martinet et à la cravache. Le martinet me fut plus agréable que la cravache qui est plus violente, ressentie comme une morsure… hummmm vous savez quand j’y repense j’ai adoré, non pas pour la douleur mais pour l’image de la soumise punie par son maître et du plaisir que je pouvais vous procurer. Parfois, après les coups, je ressentais une douce caresse calmante, apaisante, agréable… . »

La session se termina et je demandai à Li de me dire par écrit ce qu’elle avait ressenti : « Vous avez été doux et en même temps sévère attentionné et en même temps violent, j’ai beaucoup aimé ça … ! J’ai besoin de sévérité et de violence pour la crédibilité, d’affection et de douceur pour me rassurer. C’est ce que j’ai eu. Je suis faite pour la soumission, je suis faite pour le BDSM, histoire à suivre Maître. »

Je dois dire que cette première session m’a beaucoup plu aussi. Li m’a montré une véritable qualité de soumise et m’a apporté vraiment un plaisir que ressent un dom qui voit ses consignes et ses ordres exécutés sans difficultés.

Nous nous vîmes alors pour une seconde session. J’avais pour cette occasion loué une chambre d’hôte que je préparai préalablement. Je lui ordonnais alors de s’habiller avec des habits pas dommages car je voulais procéder à un déshabillage en règle, aux ciseaux. « Vous m'avez arraché mes vêtement comme pour les esclaves avant. J'ai senti de la brutalité à ce moment et j'ai ressenti de la peur, une délicieuse peur que j'aime ressentir… »

Puis j’ai procédé à une épreuve dont je sais qu’elle est parfois fortement ressentie par les soumises, la momification. Elle ne fut pas bien ressentie par Li, ce que je peux comprendre mais évidemment après l’avoir fait. Il est certain que ce fut une indication utile pour moi. En effet, mon plaisir n’est pas contraint par une pratique ou une autre. Par contre elle me précisa :… «ce que je préfère, c'est celle par les insultes, celle qui est plus sexuelle comme la sodomie aussi ou comme quand vous me faites recracher la semence et que vous l'étalez sur mon corps comme un tableau... Ca j'aime beaucoup... Vous m'avez ensuite lacé, j'ai apprécié, j'étais un petit pantin sont on prend quand même soin. » 

Je connais, Li comme une personne volontiers insoumise, un parcours de jeunesse dont je ne saurais expliquer les raisons en seraient les raisons ? Les échanges qui précédèrent cette rencontre ayant été assez ardus je décidai de procéder à une sanction assez sévère : 200 coups de martinet. « je m'attendais à une sanction sévère.  J'ai entendu 100 coups de fouets au début, je trouvais ca énorme mais en fait c'était 200... Là, J'ai eu peur ... Je me suis dit "ok on rigole plus". Une sanction sévère, mais j'aime la sévérité. C'était dur, J'ai vu ici le côté sanction et du coup j'aime de moins en moins ce carnet noir. Parfois j'ai cru ne pas tenir mais j'ai tenu bon du coup j'étais fière… […] … Tout le long j'avais les yeux bandés ! J'ai apprécié car je ne savais pas ce qui allait se passer ensuite, ca c'est le kiffe... ». Lors de cette sanction Li a compté ces coups de martinet. Elle put ainsi m’indiquer quand elle était prête à recevoir le coup suivant. C’était certes dur pour elle mais j’ai aussi été attentif à ses réactions. Le but du Maître est bien sûr d’éviter que la soumise dise la mot de sécurité qui met un terme à la session. Li fut vraiment brave et je l’ai beaucoup admirée pour ce courage et cette volonté !

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La seconde rencontre se termina par le signature de la soumise : une empreinte de vulve accompagnée de sa signature.

 

Cette deuxième rencontre fut encore une fois un plaisir intense, d’un niveau peu égalé précédemment. Je veux dire que dans toutes les sessions que j’ai vécues avec mes soumises, Li est l’une de celle qui s’est le mieux comporté.

Ainsi, à la fin de la rencontre, après avoir reçu le baiser de Li sur mes pieds, je la quittai. C’est vrai aussi que ce dernier au revoir s’encaisse toujours avec difficultés. Cette soumise est vraiment attachante. Ce ne fut pas neutre émotionnellement de la laisser reprendre sa voiture uniquement habillée de ce manteau que j’avais apporté pour remplacer les habits découpés. En fait j’aurais pu la garder plus longtemps mais il est aussi vrai qu’ayant ses règles, elle était indisponible pour le plaisir sexuel qu’elle aime tant.

Ce fut probablement une erreur, car en fait elle ne perçût pas les sentiments que je générais envers elle. Ce fut en tous cas ce que j’interprétai plus tard.

Est-ce la raison des échanges plus durs qui suivirent par le biais d’internet ? C’est possible.

Nous nous vîmes alors une troisième fois, dans son appartement.

 

Ce ne fut pas si facile de la revoir. Je ne savais pas du tout comment les choses allaient évoluer car les mots et les propos avaient pris un ton parfaitement déplacés. Je l’accueillais donc avec froideur, sans rien dire d’autre que « Bonjour Li ». Une fois chez elle, je lui demandais de s’agenouiller et d’enlever ses lunettes en lui disant « enlève tes lunettes, t’en a pas besoin pour parler ». Je lui filais alors deux claques assez bien senties en haussant le ton et de lui demander « c’est quoi cette façon de t’adresser à un Maître,… ça va pas ?, on fait quoi maintenant ? t’en est où ? » Elle ne répondit rien. Puis, à force d’insister, elle me répondit : « je ne sais pas ». J’étais à deux doigts de repartir d’autant plus que je n’avais rien pris avec moi (le matériel). Je dois aussi avouer que j’étais assez en colère, une colère froide et totalement maîtrisée. Finalement elle inclina à me dire… « restez ».

 

Je suis souvent revenu sur cette épisode qui, je le dis très clairement ne m’a pas plu du tout car il a été à l’envers de ma conception de la domination. Je n’ai jamais aimé les échanges durs comme ceux que nous avions eu. A l’analyse rétrospective je le regrette. Aurais-je du agir autrement, c’est une question à la quelle je ne sais pas répondre. J’aurais peut être dû ignorer et la reprendre plus délicatement, sans varier, in fine, à ma détermination. J’aurais dû choisir une autre méthode. Elle m’avait écrit : « Quand je vous ai vu, j'ai repéré que ce n'était pas une colère "pour jouer" mais une véritable colère, j'ai perdu mes moyens j'ai eu un peu peur de votre réaction. Il est vrai que pour moi ca reste tout de même un jeu ... ».

Je me suis demandé si je n’avais pas été assez clair pour lui expliquer que le « bdsm sous forme de jeu »  ça reste une illusion. L’esprit, le mental, l’affectif, le corps restent quand même sollicités et parler de jeu c’est ignorer cela.

C’est vrai que dans le langage habituel on parle de jeu. J’ai jamais aimé ce vocabulaire.

Peut être aussi que Li est affamée d’affection et exprime ce besoin à sa manière. Parfois de façon trop juvénile voire enfantine. Je ne saurais, aujourd’hui lui en vouloir. C’est son histoire à elle, avec laquelle je dois aussi compter. Probablement aussi que ce manque s’exprime chez elle par cette envie de vivre des rapports sexuels étroits comme elle l’exprima dans son dernier texte : « Vous m'avez aussi pénétré, ca faisait longtemps que j'attendais ça, vous en moi, entièrement ..., j'ai beaucoup aimé ce moment et vous êtes allé en douceur pour l'anus. Miam... j'ai adoré quand vous m’avez sodomisée et que vous me caressiez en même temps, je ne me sentais plus ^^ ».

Les jours ont passé et diverses circonstances ont fait que Li qui s’était portée volontaire ne l’a plus été. Elle me demanda une pause, en tous cas pour un moment. Etudes, solitude, distance aussi avec moi, incertitudes, l’ont poussé à mettre une sourdine à cette relation. Elle a une relation avec un « voisin ». Je lui l’ai dit, son plaisir à elle prime, tout en étant très dubitatif sur les manières de ce compagnon.

 

J’ai toujours répété et insisté sur le volontariat. J’ai donc parfaitement admis cela de la part de Li.

Nous avons encore eu une occasion de visiter un munch organisé en ville. Pour cette occasion je me suis déplacé tout exprès. J’avais aussi envie de lui parler. Nous nous y sommes rendus, en tout bien tout honneur. Elle pu ainsi rencontrer d’autres adeptes et de cette façon recevoir des réponses à ses questions et probablement aussi de recevoir des réponses d’autre bouches. Pour la première fois, et je dirais en toute amitié, je l’embrassais au moment de repartir de sa maison. Un nouveau moment difficile pendant lequel, une fois saluée, je m’en suis allé sans me retourner. Trop dur !!!

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Et donc que devient le Maître après tout cela ? Je dois bien avouer que si cette relation ne peut pas être qualifiée de ratée, elle est restée en points de suspension. Y aura-t-il une suite ? Je ne peux pas être péremptoire. Tout dépendra des circonstances. Je dois aussi relever que la forme, si dans le fond, reste purement BDSM, j’ai constaté que Li ne semble pas encore avoir assimilé la différence entre vie « vanille » et vie BDSM. Cela m’a donc laissé penser que si nous avions continué j’aurais dû être plus en empathie sur ce côté-là. Est-ce une réalité, est-ce une supposition erronée ? Il est aussi probable que son besoin d’affection en est aussi la cause.

Avouons tout de même que si le contact n’est pas interrompu, il reste quand même un petit goût de « reviens-y » que seul l’avenir m’apportera la réponse.

Li, est-elle une éphémère ?

Non, il a pas fallut attendre longtemps, cette fois-ci c'est clair! Elle a rencontré un couple (dom-soumise) dimanche lors d'un munch à Lyon. Sans attendre le contact est pris pour des sessions à 3... la soumise est bisexuelle. Elle hésite bien sûr mais je commence à bien la connaître. En plus elle m'a répondu: "il y a eu trop d'éléments divergents".

Alors, malgré ses explications pour arrêter la pratique du BDSM... "j'aurais peu de temps, mes études...." m'écrivait-elle, la voilà sur le point de poursuivre son chemin pour d'autres aventures.

Pas de soucis, bon vent, Li! Je garde de toi un souvenir magnifique mais maintenant tu  as disparu et tu es redevenue Angeline. Bye l'éphémère!

 

End of the story.


 

NB: L'éphémère ne vit que quelques heures et en profite pour s'accoupler en plein vol. 

 

 


 

Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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Vendredi 20 septembre 5 20 /09 /Sep 22:37

Mon propos restera secret, discret. J'ai en effet été le témoin d'une relation entre une soumise et un dom lequel utilisant les artifices caricaturaux du BDSM a réussi à emmener sa soumise sur les chemins de la prostitution.

L'idyle, car c'en est une, a commencé par une relation qui n'avait pas de caractère de domination/soumission. Celle-ci glissa par la volonté du dominateur dont les idées sexuelles étaient manifestement bien ancrées dans sa tête.

Tous d'abord la relation se souligna par un très fort attachement, en tous cas de la soumise, pour son Maître. 

Par contrat signé, le dominateur exigea de la part de sa soumise qu'elle lui donne tout ce qu'elle avait. "Je possède tout d'elle affirma-t-il". Dans le contrat il exigeait aussi que le don d'elle même devait être sans limites et de préciser que le 80% de ce qu'elle gagnait devait lui revenir.

En fait ces gains devaient se faire, initalement, par des pipes. Ces fellations ont donc commencé dans un club de nuit où la fille devait les accomplir dans un coin discret. Jeune, inexpérimentée, elle se lança dans cette aventure.

Des premières fellations, gagnant quelques 50 euros par passe, elle ne reversait donc le 80% a son Maître qui recevait sur son compte en banque sa part. Plus tard les fellations devinrent des passes complètes a¨comprenant aussi la sodomie et des pratiques SM.

Poursuivant dans cette direction le dom lui donna ensuite la consigne de rechercher des clients par le biais de petites annonces. Les clients venaient alors chez elle. Par le biais d'un téléphone spécial avec un numéro particulier, cette soumise, recevait donc ses clients.

Plus loin, son Maître, toujours à distance, l'a contrainte à fréquenter une maison close située dans la même ville qu'elle. S'y rendant le samedi soir, elle se donnait à des clients, fréquentant ce club de nuit, faisant entre 3 et 5 clients par nuit. Rentrant vers 5 h du matin la fille se douchait et se couchait pour dormir jusque vers midi le dimanche. Ses 200 ou 300 euros partaient ensuite vers son dom qui manifestement avait trouvé un excellent moyen de se faire du fric sans beaucoup se bouger, en parfait maquereau.

Tombée soudain au chômage, la soumise commença à creuser  son budget. Le hasard voulu que je la rencontre. Utilisant alors sa journée, la fille se présenta alors à une autre maison spécialisée qui l'accueillit avec plaisir. Chaque jour, jusqu'au milieu de la soirée elle se mit à disposition des clients, les uns sympas et compréhensifs, les autres brutaux ou sales.

 

L'alarme commença à sonner, le trou financier devenu trop gros, les exigences du "Maître" restant inflexibles.

La rupture et la révolte mirent fin à cette soumission. La soumise poursuivant cependant sa relation amoureuse avec son dom. La relation évolua alors dans une attache "vanille" dans laquelle, les actions de prostitution devaient être bannies.

Fuyant alors le pays dans lequel elle avait connu cette relation la soumise disparut pour refaire sa vie, avec un nouveau travail. Comment tout ceci évoluera-t-il c'est la question!

Vu de l'extérieur cette histoire appelait évidemment quelques commentaires précis:

• la prostitution accomplie ici n'avait rien à voir avec une soumission dans l'esprit du BDSM.

• l'exploitation de cette prostitution ressort du droit pénal (les versements bancaires pourraient en faire foi).

• il est assez surprenant et même incompréhensible qu'après avoir vécu cette exploitation la fille demande à aimer son Maître.

• on peut se demander si cette action n'est pas admise par la soumise comme une action de soumission totale. C'est ainsi qu'on peut le percevoir et on ne peut pas l'exclure, par contre si cela doit être le cas, alors la relation entre dom et soumise doit être d'une telle proximité que même pas une feuille de cigarette doit passer entre elle et lui. Dans le cas sus-mentionné ce n'était pas le cas. 

• un dom doit prendre soin de sa soumise et l'exposer dans le cadre d'une prostitution aux MST au risque de sa santé voir plus n'est pas compatible à cette responsabilité. L'intéressée avait finit par le percevoir quand soudain elle fut contaminée par le virus de l'herpès génital.

• dans cette histoire que je considère autant poignante que tragique on peut souligner que seul un accompagnement proche permet de sauver la personne. L'attachement à son tortionnaire m'a toujours paru incompréhensible même en sachant que cela arrive assez souvent.

Cette personne est maintenant sortie de cette situation de soumission extrême. Bien qu'elle continue à garder une petite relation avec ce pseudo-dom elle a réussi à s'en défaire c'est à dire à cesser son activité de prostituée, de trouver un travail fixe et de retrouver, petit à petit un semblant de sérénité affective.

 

De récentes nouvelles confirment que cette aventure est terminée. Ayant rencontré un homme un peu plus respectueux, dom aussi au demeurant, elle retrouve un équilibre affectif et le respect. Travaillant de nouveau dans une société elle se reconstruit petit à petit.

Au dernières nouvelles elle dû encore changer de société, mais ses compétences lui ont permis de retrouver bien vite une nouvelle place.


 

Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 21:07

Engagements d'une soumise anciennement engagements de Tia

Ces règles sont valables pour une durée indéterminée par le Maître en parfait accord avec toi soumise. A sa lecture, tu appliqueras ces règles en parfaite connaissance de cause et déclareras avoir totalement compris et accepté le contenu de celles-ci.

Tu décideras librement de te soumettre, corps et âme, à ton Maître qui règne sur toi maintenant et pour l'avenir, sans limite de durée.

Soumise, tu apportes, de ton plein gré, le don de ton corps à ton Maître, don par lequel tu confères à ton Maître tout pouvoir décisionnel sur ta personne.

Soumise, tu reconnais et acceptes que ton Maître dispose de tous les pouvoirs sur toi au plan physique, sexuel, intellectuel, et tu déclares que tu te places à l'entière disposition de ton Maître à tout instant.

 Soumise, tu prends un contact quotidien avec ton maître, par sms ou par un autre moyen électronique. Ton message sera bref et destiné à savoir si tu déranges le Maître. A sa demande tu lui feras un rapport de tes activités de la journée et de la nuit.

 Soumise, tu acceptes parfaitement les règles inconditionnelles qui te sont, dès cet instant, imposées et qui, pour l'essentiel, se définissent comme suit :

 Soumise tu acceptes, sans conditions par les présentes, les ordres et désirs de ton Maître,

Soumise tu seras punie pour tout manquement aux ordres donnés par ton Maître,

 Soumise tu te dois d'être disponible, à tout instant, pour recevoir les plaisirs et punitions de ton Maître,

- Ton Maître dispose de ton corps, à chaque instants et selon son bon plaisir,

 Soumise, tu devras exécuter, sans limites, les ordres de ton Maître dans l'intimité comme dans les lieux publics,

 Soumise tu acceptes, sans conditions, les règles d'humilité et de servilité qu'impose ta condition envers ton Maître,

 Soumise tu acceptes, sans restrictions, d'être offerte sexuellement pour des périodes plus ou moins longues aux amis de ton Maître,

Soumise tu t'interdis de contester ou de contrarier, par quelque moyen que ce soit, les ordres et les volontés de ton Maître,

Soumise tu acceptes que ta bouche, ton sexe et ton anus soient réglementés par ton Maître dans le cadre de ses pratiques sexuelles.

Soumise tu dois accepter que son Maître entretienne des relations avec d'autres soumises.

 

Règles applicables par Soumise, valables en permanence et de façon inconditionnelle.

Soumise tu seras totalement à la disposition de ton Maître, et cela signifie et implique en particulier :

Soumise, tu reconnaîs que son but unique est d'obéir, servir, honorer et donner du plaisir à ton Maître, ou aux personnes choisies par ton Maître.

Soumise, tu reconnais par avance que son Maître est souverain, et tu ne contesteras à aucun moment, et en aucun lieu, ses paroles, ordres et décisions.

 Soumise, tu seras amenée à  toutes pratiques sexuelles et sadomasochistes au seul choix de ton Maître.

Soumise, tu t'engages à te tenir disponible pour l'ensemble des actes sensuels et sexuels que ton Maître décidera, et ceci en tous lieux et à toutes heures du jour et de la nuit, et même en public.

Soumise  tu t'engages à laisser ton Maître employer sur ton corps tous objets, accessoires, matériels, vêtement et matière, qu' il jugera utile ou agréable à ses plaisirs.

Soumise, tu  t'engage à porter tous les vêtements et instruments que son Maître juge approprié, et ce par toutes conditions climatiques, et en tous lieux et heure du jour et de la nuit, et même en public en application des règles vestimentaires ci annexées.

 Soumise, tu t'engages à accepter de plein droit d'être appelé par : le mot Esclave, et par tout autre nom souhaité par ton Maître (l'usage de mots orduriers ou insultants ne sont pas prévus, l'autorité naturelle de ton Maître suffit à exprimer sa domination); et ceci en tout lieux et à toute heure du jour et de la nuit, et même en public.

Soumise, tu appelleras ton Maître, "Maître François" ou "Maître".

 Soumise tu dois te maintenir dans une attitude humble et servile face à ton Maître, et ceci en tout lieux et à toute heure du jour et de la nuit, et même en public, si aucune autre instruction autre ne t’est signifiée par ton Maître.

- Ton Maître se réserve le droit de placer dans ton anus un gode ou un plug (insert anal) de dimension choisie par ton Maître, et que comme ESCLAVE tu t'engages a conserver dans ton anus jusqu'au moment où ton Maître t'autorisera à l'enlever.

 Soumise, tu as le devoir absolu de marquer une déférence et une bienséance permanente envers ton Maître en multipliant pour lui les attentions qui pourraient lui être agréables.

- En public Soumise, tu as le devoir de te comporter le plus respectueusement possible à l'égard de ton Maître, des amis du Maître ou de toutes personnes inconnues.

 - Assise, Soumise, tu ne croiseras jamais les jambes. Tu garde les genoux serrés tant qu'aucun ordre ne t’aie été intimé.

- Sans y être invitée Soumise tu t’adresseras à ton Maître seulement avec le mot "Monsieur" en donnant l'impression que tu ne le connaît pas et ceci uniquement pour des raisons de discrétion.

- Quelques unes des règles d'esclavage peuvent êtres temporairement suspendues sur la seule décision de ton Maître.

 Soumise, tu n'est pas autorisée à accepter d'ordres en provenance de personnes autres que de ton Maître, à moins que ton Maître, n'en ait décidé autrement.

 Soumise, tu dois accepter que ton Maître utilise d'autres esclaves.

 - Le Maître et ses amis pratiqueront les rapports sexuels de leurs goûts et de leur choix avec toi, qui te dois de les accepter tels quels.

 - Le Maître a le loisir de t’offrir des périodes de liberté pendant lesquelles tu pourras t’exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d'aucune punition. Il est cependant convenu que tu continueras à t'adresser à ton Maître avec amour et respect, en tout temps, et que tout manquement à cette règle sera punie ultérieurement.

 

En cas d’infraction aux règles.

Soumise, si tu ne suit pas ces règles, tu seras durement punie. A ce titre, Soumise tu acceptes pleinement :

 - D'être liée avec des cordes, ou chaînes, de porter aux poignets, chevilles et cou des fers et ceci même sur une longue période de temps, et d'être privé de toutes libertés corporelles et ceci même sur une longue durée de temps. De la même manière, Soumise, tu acceptes toutes formes de suspensions, momifications, immobilisations, bondages.

 Soumise, tu acceptes de rester ainsi privée de tout mouvement même sur du long terme et en toute place et lieux choisis par ton Maître, et ce même dans les lieux publics.

 Soumise, tu acceptes d'être séquestrée, et/ou d'être enfermée dans tout espace souhaité par ton Maître et ceci en tout lieux et à toute heure du jour et de la nuit, et même en public.

Soumise tu acceptes de recevoir sur toutes les parties de ton corps, y compris sur tes seins et ton sexe de la cire liquide et chaude, d'être fouettée, cravachée ou battue au ceinturon intensément, et ceci en tout lieux et à toute heure du jour et de la nuit, et même en public.

 - Plus généralement, Soumise, tu acceptes la douleur comme étant une pratique au titre de la relation sadomasochiste qui existe entre ton Maître et toi, esclave, ton  Maître ayant seul le libre choix de la nature, de l'intensité et de la méthode employée à ces fins de recherche de douleur.

 Soumise, tu acceptes, sur le seul choix de ton Maître, toute forme d'humiliation, d’exhibition, de dépersonnalisation, de mise à disposition d'autrui que ton Maître décidera ou choisira pour toi, son esclave.

Soumise, tu acceptes, par avance, toutes autres pratiques et punitions choisies par ton Maître, et ceci en tout lieux et à toute heure du jour et de la nuit, et même en public. De la même manière, Soumise, tu acceptes que ton Maître utilise sur toi, ou te fasse porter, tous matériels, objets, accessoires, vêtements de toutes formes, coupes ou matières que ton Maître décidera ou ordonnera.

 

Soumise si tu dois être corrigée tu pourras, à la demande de ton Maître, suggérer ta punition.

 

Soumise tu approuves ces règles en affirmant:

 • Je fais librement le don de la totalité de mon corps et de mon esprit à mon Maître de manière qu'il puisse en disposer selon son bon et unique plaisir ; par là même, j'accepte de ne vivre que pour le plaisir et la satisfaction de mon Maître, sans rechercher mon plaisir ou ma satisfaction propre en dehors de ses souhaits.

 

• J'accepte par avance d'être prêtée ou louée à d'autres Maîtres pour une durée de temps indéfinie sur le seul choix de mon Maître.

 

• J'accepte d'être marquée, au libre choix de mon Maître, d'une marque spécifique désignant mon statut d’ESCLAVE.

 

• J'autorise mon Maître à prendre des photographies et des vidéos de mon esclavage sachant qu’il ne les utilisera qu’avec mon approbation.

 

• Je déclare rechercher l'extrême à travers ces pratiques sexuelles et sadomasochistes en parfaite connaissance de cause, et ce quelles que soient les conséquences qu'une telle recherche pourrait entraîner. Conséquences et risques éventuels que, par avance, j'accepte sous ma propre et inaliénable responsabilité décisionnelle.

 

En condition de soumise, par mon initiation et à la lecture de ce document, je m'oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ainsi qu'à toutes les autres que mon Maître choisira d'ajouter. Je lui confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, pour Son plaisir et Son usage.

 

Nue, debout, jambes écartées, les bras ouverts et tendus, la soumise ayant lu le document se voit poser la question par le Maître qui demande à la soumise : 

« Soumise, acceptes-tu sans réserve ces règles »  Soumise, tu répondras « oui Maître j’accepte toutes ces règles sans restrictions aucune, ma soumission commence officiellement depuis cet instant, j'en suis fière et heureuse".

En t'agenouillant  devant ton maître tu t'abaisses et tu lui baises les pieds et son sexe. Ainsi peuvent commencer les épreuves d'initiation.

 

Ces règles sont écrites et uniquement déposées sur ce blog.

En ma qualité de Maître, j'accepte le désir de Mon esclave de me servir totalement et je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de la discipliner afin de me servir encore plus parfaitement.

Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 07:30

 

Ma chère Tia,

Tu as repris la relation avec moi, tes message m'ont bien rassuré sur l'issue de cette relation épistolaire. Tu situation n'a cependant pas beaucoup évolué en ce sens que tu me semble être prise dans les filets tissés par des gens qui profitent de toi d'une manière assez perverse, il faut le dire. Oh, bien sûr je peux comprendre l'intérêt des gens qui t'ont ainsi prise. J'en tirerais aussi du plaisir, je ne veux pas dire le contraire. La différence c'est que je ne peux admettre une quelconque contrainte, même triangulaire (toi-mari-amis). Il doivent bien s'amuser, et toi, dont tu m'as souvent dit ta faiblesse par rapport à la relation sexuelle, aussi tu apprécies de te faire prendre de la sorte. Il est vrai que sortie de ces moments forts que j'ai déjà décrits, tu sembles chercher autre chose.

Je t'ai aussi dit que c'est à toi de prendre ta destinée en main et de faire, au besoin et par rapport à ta famille un "coming out" qui présente en fait ce qui t'arrive vraiment. Je sais c'est dur, mais ne crois-tu pas que ce qui arrive maintenant risque de dégénérer et d'échapper à ton contrôle?

Bien sûr, dans tout ce que je técris, j'y cherche mon intérêt, à savoir disposer d'une soumise avec laquelle je puisse faire un chemin bdsm durable. D'un autre côté et alors ici loin de mon intérêt, je trouve que ce sera aussi pour toi la prise en main de ton devenir. L'âge avance et un jour, au gré des aléas de la vie, tu risques d'être rejetée par ceux qui t'usent et t'abusent.

Est-ce que je vois juste? Est-ce que tu partages mon analyse? Tes prochaines réponses m'importent.

On m'a dit, des amis et amies qui lisent mon blog,et à la suite des lectures de ton parcours, que si tu voulais tu pourrais sans autre me contacter et faire ton choix. Ils me disent que tu n'es pas sérieuse. Je n'y donne pas quitus! Je pense que tu es sincère mais que ton environnement et peut être aussi ton caractère ne te permets pas de réagir par rapport à ce que tu subis.

Alors voilà, Tia, essaye de faire tout ce que tu peux pour faire évoluer ta situation et réponds-moi par rapport à ce que je t'explique et aux questions que je te pose. Je suis un Maître qui est toujours en phase avec la prière que tu as apprise au mois de mai. t'en souviens-tu? 

Tu vois Tia, tout ce que je te dis ici c'est pour te dire que je veux te garder, je veux te rencontrer et que je tiens à toi!

A bientôt, Tia!

Mais nous sommes fin novembre et le contact est à nouveau interrompu. Que se passe-t-il? Je n'en sais rien, je devine. Ma porte reste toujours ouverte mais tu comprendras que ma recherche se poursuive. Si le hasard veut que ce soit ici le dernier message, eh bien ton souvenir me restera mélangé avec cette frustration de ne jamais avoir pu te rencontrer pour de vrai. Si la hasard choisit une autre issue, eh bien nous pourrons voir ensemble quelles réponses nous pourront donner à cette relation qui se promettait d'être belle.

 

FAUSSE ALERTE...

 

Tia, que se passe-t-il? Depuis le dimanche 4 novembre, silence. Plus de réponse! Rien!

Je ne sais pas que penser, je ne sais pas que faire.

Je reste "en ligne" Tia, si par hasard tu devais revenir sache que la porte est ouverte.

Passe de bonne Fêtes de Fin d'année et peut être à 2013!


Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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