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aux femmes qui désirent vivre leur passion BDSM avec un Maître, qui le suivent par intérêt, par amitié ou encore par dévotion.
Acquis récemment, voici le matériel destiné à l'entraînement de pony girl.
La chambrière, mesure près de trois mètres de long et claque très bien. Pour le dresseur c'est quand même un effort physique que de manier la chambrière et de la faire claquer.
Les mors.
Le mors destiné à l'entraînement. Il est évident que le lico* doit être ajouté et le mors est rattaché au licol par des brides passant dans les anneaux. Voir ci-dessous.
Le canon du mors a été choisi soit avec un gaînage en cuir soit en caoutchouc, Je l'ai voulu pour éviter des bris de dents possible si la pony girl tombe au sol. Je compte utiliser ce nors pour des parades ou des présentations en public.
Ce mors sera monté sur cuir dès que ceélui qui est en photo et qui est un prototype sera définitivement approuvé et testé.
Il est évident qu'il manque plusieurs articles qui complèteront l'équipement:
• la longe (acquis)
• les rênes (acquis)
• le fourreau pour les bras (à recevoir, en remplacement des manchettes en cuir sont utilisées)
• le harnais avec attaches sur les côtés pour le sulky (à recevoir)
• les bottes (à acheter en fonction de la pointure)
• le plug à crin de cheval (en cours d'achat)
• pour les présentations et tours d'honneurs plumet à fixer sur le licol (à acquérir)
• grelots à fixer aux pieds. (en possession)
• pendant l'entraînement un biberon de poulain est prévu car la déperdition en eau peut être assez importante lors des entraînements. (à acquérir)
Le matériel pour panser la pony girl (soins)
• le seau
• étrille en caoutchouc
• Brosse, éponge et peigne
• crème
• couverture
Pour la nuit, la pony est attachée par une chaîne à l'anneau de la stalle. Un seau rempli d'eau lui permet de boire la nuit.
Je ne prévois pas d'autre dispositif, mais de la paille assez épaisse pour absorber l'urine.
Entraînement:
(Prévu en manège sur 2 jours)
Pour l'entraînement je prévois un demi-journée pour entraîner la pony aux différents pas et aux ordres.
Pour cette occasion la pony aura l'équipement d'entraînement, y compris le fourreau de bras, le harnais et les bottes. Je prévois de la guider avec les rênes et la cravache.
A midi le licol et le mors sera retiré et les bras libérés quoiqu'entravés dans des fers. Le repas sera distribué dans une écuelle posée au sol, la pony aura donc à lapper son repas.
Je ne prévois pas de nettoyage de la bouche de la pony, peut être il sera permis à une autre pony de lui lécher le visage pour nettoyer des restes de nourriture.
Une seconde partie sera consacrée a tourner en manège à la longe. L'un des bits vise à exercer les différents pas en contrôlant la hauteur des genoux et la pliure des jambes comme aussi l'endurance.
A l'instar des poneys au travail, je ne prévois pas d'interruption de l'entraînement même s'il s'agit de se soulager.
Le repas du soir sera distribué comme à midi.
Le soir, une présentation est prévue pendant laquelle les leçons de la journée sont passées en revue.
Vers 22h 30 la pony est pansée puis ramenée dans la stalle pour y passer la nuit.
Le lendemain matin, le réveil se fera avec un seau d'eau. Le choc provoqué réveillera la pony girl.
Le petit déjeuner sera remis dans la stalle et dans l'écuelle.
L'entraînement continuera en manège.
Dès que ce sera possible, et si le sulky est disponible, la pony sera entraînée à la traction du sulky, d'abord à vide puis avec le dresseur sur le sulky.
L'après-midi sera consacré à des tours de sulky en manège d'abord puis dans la nature.
A la fin du stage la pony recevra son diplôme de pony girl. Cette attestation lui permettant de pouvoir être appelée à des cours ultérieurs.
Je ne résiste pas non plus à montrer une interview d'une pony girl à Central Park (NY). Hélas la vidéo est en anglais mais je vais tenter de vous en traduire l'essentiel...
Cliquer ici pour voir la vidéo: cliquer ici
Le couple, dresseur pony girl (mari et femme) viennent à Central Park pour effectuer un entraînement. Il circulent ainsi dans le parc. La pony girl a gagné en 2007-2008 le prix de la meilleure pony girl sur le plan international.
L'exercice pony girl, exercice BDSM, passe mieux auprès des gens que les autres pratiques.Le dresseur explique que ce sont des moments très forts de transfert de pouvoir, de domination/soumission et qu'ils aiment aussi toute la partie de préparation. Près de deux heures de préparation et d'équipement et ensuite toute la partie des soins incluant des massages. Le dresseur explique aussi qu'il aime s'occuper de la pony en étant proche d'elle sans pour autant exercer un acte sexuel mais avec des atouchements et des gestes intimes.
Au milieu de la séquence la journaliste demande de pouvoir parler à la pony sachant dit-elle, qu'une pony girl ne peut pas parler.
Le dresseur lui enlève alors le mors (licol très bien réalisé, le permettant).
Elle répond que c'est un bel exercice de transfert de pouvoir, la conditionne pour être physiquement en forme. Etre doit être assez forte pour exécuter ce qu'il lui demande de faire, de rester en forme et concentrée aussi. Elle cite la compétition à laquelle elle a participé en 2007 et 2008 et où elle est sortie première de la complétition internationale. Ils viennent de la Floride pour faire ces exercices à Central Parc (New York), 2 jours de voyage, quelques heures à Central Parc et 2 jours de retour. La journaliste insiste sur le fait que l'exercice pony girl passe bien dans le public et donne une image positive du BDSM.
La raison donnée par la pony girl de ce déplacement à Central Parc est le fait que c'est un merveilleux endroit qu'elle aime fréquenter avec son mari, la seconde raison est de montrer aux gens et surtout aux autres filles le plaisir de cet exercice. Le dresseur ajoute encore que l'exercice pony play pourrait, selon l'endroit et la tenue les conduire en prison mais ici, avec cette belle interaction entre le public et eux mêmes, les choses passent très bien en fait. La journaliste conclut qu'elle a voulu montrer un aspect positif de la vie fétichiste et de ce niveau d'acceptation général pour pouvoir vivre cette passion.
Ndlr: Il est bien certain qu'aux USA ce genre de pratique passe bien mieux dans les moeurs que dans certains pays d'Europe.
Ci-après, un autre film vidéo montrat l'entraînement d'une pony girl:
Cliquer ici pour visionner link
La documentation permet de faire quelques recherches sur le partage d'expériences et aussi d'apporter des explications à des pratiques BDSM qui sont parfois difficiles à saisir. La lecture est aussi un bon moyen de préciser des techniques de domination et de comprendre le processus de progression qui m'a toujours intéressé. Peut être est-ce aussi pour trouver le moyen de recruter de nouvelles adeptes de cette passion.
J'ai souvent été étonné d'apprendre que l'arrivée d'une soumise dans ce monde a été provoqué qui par un film, qui par une discussion prolongée avec un ami ou une connaissance, par une lecture, par une situation qui révéla à la personne son inclination à vivre cette forme de pratique intime.
Je ne saurais oublier de mentionner les ouvrages de John Norman sur le monde de Gor et sur le livre qui figure sur cette photos: "les esclaves de Gor". Plus loin de livre très mesuré mais inétressant car exhaustif sur la relation BDSM, en anglais portant le titre SM101 de Jay Wiseman.
J'ai mentionné sous le titre "pony play" le livre richement illustré sur le pony play. Un très bel ouvrage sur cette pratique que j'estime quasiment incontournable dans une relation S/M.
J'ai par exemple été sensibilisé par les auteurs américains dans la pratique des protocoles. En fait cet ensemble des règles de vie imposées par le Maître sur sa soumise.