Samedi 29 septembre 6 29 /09 /Sep 22:05

le 20.5.2012

 

Ma chère Tia, Katia je devrais dire en fait,

 

Ce dimanche 20 mai, je t'ai envoyé un message pour te dire que ton souvenir dans ma mémoire loin de s'effacer, est resté, il me tourmente même!

Je t'attends, comme tu peux bien le deviner, je sais ta situation, ou plutôt je la devine car depuis le 7 mai je ne sais plus rien de toi. Je choisi ce blog pour te dire tout cela car je ne veux pas forcer ta main et ton esprit en t'adressant ces propos sur ta boîte mail. Si tu consulte ce blog c'est qu'il y a une démarche de ta part (que j'approuve bien sûr) et voilà le détail de mes sentiments envers toi.

Je te souhaite une bonne semaine Katia, prend courage, fais toi aussi plaisir si le coeur t'en dis.

Je pense inlassablement à toi, même si notre relation fut brêve elle n'en demeure pas moins forte et inoubliable... la preuve.

Je t'embrasse affectueusement.

 

F

 


le 28.5.2012

 

Ma chère Tia,

D'abord je n'arrive pas à me détacher de ton nom d'esclave! Je sais, tu es Katia, mais pour moi tu restes Tia.

Je t'écris ici sans savoir si tu me liras, mais peut être que la télépathie fonctionne et que tu ne manqueras pas d'avoir envie de jeter un coup d'oeil sur notre site. En fait tu commences à m'obséder terriblement. Il ne se passe pas un jour sans que je regarde l'une de tes photos ou bien que j'écrive quelque chose sur toi. Bon sang si près du but et patatras...

Je relis les textes des messages msn que nous nous sommes échangés. Je relis tes derniers messages mail. Je m'imagine que tu revois avec plaisir tes amis et que tu passes des heures inoubliables avec eux. Peut être as-tu vécu des trucs incroyables...

Je suis évidemment malheureux de t'avoir perdu comme ça. Sans avoir l'occasion de te parler, d'entendre le timbre de ta voix, de te toucher aussi. Ton silence est évidemment pesant, tout en le comprenant aussi.

Je sais le risque que d'autres que toi lisent cette lettre, ici sur ce blog (qui reste il est vrai assez peu fréquenté à en observer les statistiques, les connections directes ne peuvent venir que de toi ou peut être de ton amie Françoise) mais tant pis, je prends le risque de te dire que je ne t'oublie pas, en fait c'est pire, tu deviens obsédante. J'en suis à me demander si je ne dois pas venir vers toi, à te chercher, à en écumer les rues de Lognes ou celles de Torcy. Du jamais vécu pour moi. Je suis aussi à m'imaginer te recueillir au bord du chemin après que tu aies vécu des moments difficiles. On en sait rien, sans nouvelles on imagine tout, le meilleur comme le pire. En tous cas tu sais que je ne passerais pas à côté de toi sans te prendre par la main et te conduire vers le meilleur! Déjà que ma précédente soumise qui a connu un pépin dans sa famille avait du me quitter; mais là, c'est peut être pire encore!

Je t'embrasse ma belle Tia... je ne désespère pas de te revoir une fois pour de bon et reprendre à la page où nous en étions restés. Sois forte, sois volontaire, je te souhaite que du positif et le meilleur possible!

Ton Maître, ton ami aussi!

 

François, Maître François !

 

 

Le 4.6.2012

Bonjour Tia,

Voici presque un mois que nous ne nous sommes plus contactés. Cette absence  reste pour moi, autant une énigme qu'une tristesse. Il ne se passe pas un jour sans me demander si tu revois tes chers amis. Je m'imagine que oui, car certainement la force de tes envies doit t'être irrésistible. Que se passe-t-il avec ton mari? Là aussi, la question reste ouverte bien sûr.

J'ai bien regretté aussi la réponse du mari de Françoise car je suis persuadé que l'on aurait pu faire, finalement, bon ménage ensemble, mais bon les choses ont évolué dans ce sens et c'est vrai que je ne m'apprêtais pas à te partager de la sorte.

Je me suis demandé si tes amis t'avaient déjà mise en contact avec d'autres couples comme Marc me l'avait décrit, hommes et femmes pour te faire jouir dans des positions multiples avec des pénétrations triples, t'inondant de sperme et d'urine. Urine dont tu m'avais dit que cela ne te ferait rien d'en recevoir car je t'avais dit, et c'est exact, qu'elle est stérile.

Quelle expérience as-tu encore faites? Je ne peux pas te cacher mon désir d'en savoir plus.

Vendredi j'ai reçu le harnais de pony girl dont je t'ai souvent parlé et pour lequel, je crois, tu avais aussi de fortes envie. En effet, ce stage que je te proposais aurait dû te donner des sensations  inoubliables de soumise, d'esclave et surtout de "dépersonnalisation". J'ai hélas suspendu ma recherche d'un manège dans ta région pour pouvoir te faire vivre cela.

Comme tu le vois sur la photo ci-dessous le licol est accompagné d'une mors en caoutchouc qui, si tu pouvais le porter, te fera saliver pendant les entraînements, te mouillant les seins et coulant jusque sur ta vulve voire le long des jambes jusque sur le sol.

Ma chambrière serait venue peut être zebrer ces jambes mouillées ce qui aurait du te procurer des sensations peu courantes et sans comparaison avec les pénétrations que tu dois connaître maintenant.

De temps à autre je visionne ta photo, celle où tu es attablée dans un restaurant et où tu esquisses un sourire. J'aurais tant aimé en avoir d'autres de ton visage. Mais voilà, les choses se sont passées à la vitesse de la foudre, comme le coup d'ailleurs.

C'est bête mais je n'ai pas de paratonnerre et je me suis pris ça en pleine figure: tu reste très vivante dans mon esprit!

Liras-tu ce message, l'ignoreras-tu? Je n'en sais rien, peut être que la curiosité de ton amie Françoise fera qu'elle te dises, "dis donc, ton ancien Maître" t'as écrit un mot sur le blog, regarde...

Tu as du recevoir ton téléphone personnel mais ici aussi, hélas, black out. 

On va patienter Tia, j'ai l'impression que tu reviendras, tout au moins pour me dire et m'expliquer où tes réflexions t'auront conduites.

Bien à toi Tia, sois courageuse et forte, très sincèrement et affectueusement!

 

Maître François

 

licol-pony-girl.jpg

le licol et le mors de la pony girl...

et

 

carcan.jpg

 

le carcan pour t'immobiliser chevilles et poignets dans une position très ouverte de ta vulve et de ton anus, aussi pour recevoir le fouet sur les fesses tendues.

 


Le 10.6.2012

 

Ma chère et tendre Tia,

Je sais que tu viens visiter le site. J'en suis hyper heureux car ton souvenir, au lieu de s'estomper devient de jour en jous plus vivant. Penser à toi la journée, c'est pas banal car tout le film de nos conversations repasse dans ma mémoire. Je sais que tu as un numéro de téléphone privé... je suis hélas désarmé pour te contacter mais je ne désespère pas.

Je suis sûr aussi que tu me feras signe bientôt!

Je t'embrasse ma douce et tendre prochaine esclave!

Ton Maître

 


 

Lundi 18 juin 2012 - 13h30

 

Nous nous sommes donnés rendez-vous au super-marché Carrefour de Torcy, près de la gare RER A.

Tu m'attends sur le parking proche de l'entrée principale. Pour l'occasion je t'avais demandé de revêtir une jupe beige, un chemisier blanc sans soutine gorge et sans string. Sur tes hauts talons, seule, tu m'as donné cette impression d'être une péripatéticienne que tu n'est pas d'ailleurs. Un petit sac est posé à tes pieds.

Je m'arrête et tu montes sur le fauteuil arrière de la voiture. C'est mon ordre en effet car je veux que tu te déshabilles complètement. Oh tu es protégée par les vitres teintées de ma voiture mais je sens bien ta honte et ta gène.

Nous partons pour nous diriger sur Ferrière en Brie. Tu vas y subir un stage pony girl et je serai ton dresseur et Maître bien sûr!

 

Nue sur la banquette arrière nous parlons des dernières nouvelles, des soins de ton esthéticienne. Lors des passages sur des bosses, je vois dans le rétroviseur tes seins balloter.

Nous arrivons à la ferme-manège que j'avais réservé. Les propriétaires ont l'esprit large et il savent qui arrive. Je fait le tour de la voiture et ouvre ta portière pour te faire descendre. J'ai en main un collier que je te passe immédiatement autour du cou. Le fermier t'observe avec attention et concupiscence. Je te conduit avec une longe que je tiens dans la main directement vers la stalle qui t'es réservée. En passant la demi-porte, nous arrivons dans la stalle qui est déjà occupée par deux filles qui sont également en stage pony girl. Vous serez donc trois en dressage.

Je saisis la chaîne qui est à disposition contre le mur et te fixe à côté d'une de tes compagne d'occasion. Le sol est recouvert d'un bon lit de paille et d'une couverture à carreaux rouge foncé et vert.

Je te dis simplement "reste Tia, ton stage commence ici".

Je repars vers la voiture pour prendre en charge les bagages et les installe dans la salle que le fermier nous a réservée. Je rencontre mes autres collègues dont un ami qui vient aussi de Suisse.

Il est presque trois heure et demi et nous allons précéder à un premier débourrage de nos pony girls.

J'emporte le sac avec les équipements nécessaires: le licol, le mors, le harnais et les manchettes, les grelots, les rènes.

Nous arrivons à la stalle et je te détache du ta chaîne. Debout je vais t'équiper de ton licol. Les lanières enserrent ta tête. Je te fixe ensuite le mors en caoutchouc dans la bouche. Les lanières bien serrées te tirent la commissure des lèvres en arrière et comment déjà à te faire saliver.

Je te passe le harnais, et le fixe autour de ton buste en passant sous tes seins. deux lanières passent entre tes jambes. Je serre fort les ceintures. Ecratant les lanières je t'enfile un plug avec une queue de cheval qui pend entre tes jambes.

Je ramène tes bras en arrière et les passe dans l'étui dont les lanières passent sur les épaules.

Je me baisse pour te fixer le grelots sur les jambes à la hauteur de tes chevilles.

Les boots a fer de cheval sont prêts et je te les enfile.

Tu es prête Tia, je glisse mes doigts dans ta fente pour en vérifier l'humidité. C'est vrai que tu mouilles beaucoup.

Les deux autres stagaires sont bientôt prêtes. La longe attachée au collier de ton licol, nous vous tirons vers le manège. tes pas sont mal assurés car c'est la première fois que tu marches ainsi.

Le sabots frappent le sol de façon si caractéristique.

Tu arrives dans le manège, tu sens les odeurs des chevaux et des poneys qui habituellement fréquentent ce local.

Je suis an centre avec mes deux autres collègues dresseurs et tenant la longe reliée à ton collier je te donne l'ordre de marcher, tu tourne en rond suivant les deux autres pony. Maintenant je te demande de lever les cuisses assez haut et de lance tes jambes an avant. Tu as de la peine à bien coordonner tes mouvements et avec ma longue cravache je te frappe les cuisses en y laissant déjà quelques longues marques qui strient ta peau blanche. Je vois tes seins lourds balloter à chaque pas. De ta bouche coule de longs fils de salive qui mouille la peau entre tes seins. Les tours se succèdent et tu apprends petit à petit à avancer comme je le veux. On entend les claquements de chambrière que l'un des dresseurs à apporté. Ces coups te font frissonner car tu ne sais pas si l'un d'entre eux ne va pas heurter ta peau.

Nous faisons une pause et je te donne à boire. Pour cela je défais ton mors et à genoux, tu viens laper dans le bidon d'eau qui est à disposition.

L'effort que tu fournis est intense et l'on voit la sueur se mélanger à tes filets de salive. Ces liquides qui coulent sur ton ventre en passant par dessus et dessous les lanières de ton harnais. En plus ton suc d'amour qui s'échappe de ta vulve en des petits fils blanchâtres descendent le lon de tes jambes. Tia, quel spectacle!

L'après-midi tire à sa fin et les exercices. je te couvre les épaules avec une couverture car je ne veux pas que tu prennes froid après ces exercices Je te conduis dans la stalle.

Je procède à ton étrillage et aux soins que l'on réserve aux pony girls. Je retire ton harnais, et passe une éponge humide sur ton corps, je te fais écarter tes jambes pour t'essuyer la vulve et autour de ton plug planté dans ton anus.

Tu me comuniques ton désir d'uriner. Tu le fais debout devant la ferme. En revenant vers la stalle je t'essuie les jambes.

Je te retire les boots et ton licol ainsi que ton mors. Je te peigne, te passe de la crême de soins sur le corps en insistant bien sûr sur tes seins, ta nuque et aussi entre tes jambes.

Je te fixe à nouveau le collier de fer autour du cou. Il est verrouillé par une cadenas. Tes poignets sont également enserréàs dans des fers cadenassés et reliés à ton collier car je ne veux pas que tu te masturbe sans ma permission. Dans ton vagin je te glisse les boules de geisha que tu porteras pour la nuit.

Il est 19h00 et tu vas recevoir ton repas du soir. Une écuelle remplie d'avoine mélangée a des fruits et du lait. Toi et tes deux autres compagnes vous lapez avec quelques bruits le repas du soir.

Je te ramène dans la stalle et fixe ton collier à la châine reliée au mur.

La lumière du jour est encore très vive mais je te donne l'ordre de te coucher et de tenter de dormir.

22h30.

Je reviens dans la stalle et je te réveille. Je te détache et te demande de me suivre. Tu vas subir une entraînement supplémentaire que je veux que tu subisse en plus de celui qui t'a conduite ici.

Dans la ferme, dans la grange, sont assis le fermier et sa femme, quelques amis qui ont été invités par lui. Tu retrouves aussi les autres dresseurs. Les yeux encore barbouillés par la lumiére, tu es menée au centre de ce local où se trouve un chevla espagnol. Il est assez haut. Tu es empoignée et assise sur l'arête de ce cheval. Tes poignets sont libérés. On t'y fixe des bracelets de cuir et une corde qui passe sur une poulie accroché à une poutre du toit de la grange te tire les bras en l'air. Tes jambes sont lestées avec des sacs de sable. On voit que tu commence à souffrir de cette position difficile. Tia, c'est ton destin, tu vas nous prouver le courage qu'une pony girl doit faire preuve.

De chaque côtés un de mes amis dresseur tient un fouet à 9 queues et s'apprêtent à te flageller. Je te donne l'ordre de hennir comme un poney. Une fois, puis les martinets d'abattent sur toi, sur ton dos, sur ton ventre. Parfois les lanières te tirent les seins de côté. Et encore tu dois hennir, et encore, les martinets. Ta peau rougit. L'exercice se poursuit pendant de longues minutes.

Le supplice se termine. Tu es libérée et on te dépose sur le sol. Tu récupères sur une couverture, repliée sur toi même tu pleures doucement. Je viens vers oti pour te caresser le dos, le nuque. Je m'agenouille pour te baiser le visage. tu as été courageuse Tia. Je suis fier de toi!


Le 15.6.12

 

Ma chère esclave Tia,

 

Oui, je sais, ton collier est posé sur la table, on ne sait pas encore si tu le reprendras. Je t'écris ce message car, pendant toute cette journée, j'ai pensé à toi et à ta condition. Je me suis imaginé ton parcours de vie depuis le 7 mai, depuis un mois et demi. Que fais-tu, comment gères-tu ta vie intime, comment utilises-tu ton téléphone portable. Que je sois en voiture, dans un super marché, en train de manger, chaque fois je pense à toi.

Ca me fait du bien de te l'écrire!

Je voulais te le dire et te le redire Tia. J'ai aussi écrit ce scénario de pony girl car tu m'as dit une fois que tu avais essayé dans ta chambre de marcher et de constater que tes seins se balançaient bien. Preuve que ton souvenir reste très fort.

Ce week-end, je m'imagine que tu seras avec ta famille mais peut être aussi "en ballade" qui sait.

Je sais que tu liras ce message Tia. J'espère juste que tu me raconteras (sans engagement de ta part) ton parcours et tes pensées par rapport à cette aventure extraordinaire que tu as vécu et à laquelle j'ai, impuissant, assisté!

Je t'embrasse Tia!

 

Ton Maître

(j'allais écrire ton ex-Maître, mais je n'aime pas l'écrire car je n'y crois pas)


Le 28.6.12

Me trouvant dans la région parisienne récemment je n'ai pas résiste à envoyer avec mon téléphone portable un message à Tia. J'étais sur l'A4 et je passais à la
hauteur des sorties de Lognes, de Torcy. J'écrivais donc à Tia un message. Elle me répondit par un petit message court mais que j'ai énormément apprécié.

Que devient-elle, comment va sa vie intime, que se passe-t-il? toutes ces questions me reviennent souvent à l'esprit. Tia j'espère qu'après tes vancances ou pendant
tes vacances tu auras l'occasion de m'écrire.

L'histoire que nous avons commencé, Tia, je ne l'oublie pas et j'espère qu'une fois les choses évolueront en notre faveur!

Bon travail Tia, bonnes vacances Tia...


Ton ancien Maître! ... enfin ton Maître encore...

Tia, je te souhaite de bonnes vacances! je ne sais pas où ni comment tu les passeras (et je n'ose pas te demander avec qui d'autre que ton mari) mais
j'espère qu'elle te donneront la sérénité que tu recherches et en tous cas le plaisir mérité après ce premier semestre 2012 qui fut riche en rebondissements.

N'oublie simplement pas que tu restes très présente dans mon esprit et que te dire que je pense souvent à toi n'est en tous cas pas un lieu
commun.

Je t'embrasse Tia!

Tia, je te sais en vacances, je ne peux pas te dire plus que de te les souhaiter reposantes et sereines. Je penses toujours à toi etj'espère bien tôt avoir
de ta part des nouvelles fraîches.

Je continue à t'embrasser... inlassablement Tia!


Le 11.7.12

 

Ma chère Katia,

 

Je te sais en vacances mais qu'importe peut être as-tu la curiosité de regarder internet et de jeter un coup d'oeil sur notre blog. L'été est pour l'instant pourri ici et j'espère que tu as l'occasion d'en prendre, du soleil.

Je ne sais plsu rien de toi mais ça n'a pas d'importance. Je pense à toi, je t'imagine. Hier j'étais à une table ronde de passionnés du BDSM à Berne et ta photo a circulé parmi les amis qui étaient là. Tu as fait leur admiration bien sûr. Il faut ajouter que  mon commentaire n'était, et de loin pas, négatif.

Bon j'espère que bientôt tu reviendras chez toi et que tu pourras reprendre ta vie de tous les jours. Prends une fois ton courage à 2 mains et écris-moi pour me dire où t'en es, quelles sont tes soucis et tes envies (oui je sais que tu en as certainement). 

Tu sais Tia, même si je dois attendre 1 années, 2 ans, voire plus je serai toujours là (si Dieu me prête vie bien sûr).

Je t'embrasse Tia, sois courageuse et heureuse aussi!

 

François 


Le 22.7.12

 

Ma chère Tia,

 

Je pense que tu es rentrée de tes vacances. Comment se sont-elles passées, où tu as été, comment as-tu occupé tes journées, tout ça je l'ignore. Je m'imagine que la jolie peau que je vois sur les photos que tu m'avais envoyée a dû prendre un peu de soleil et qu'elle s'est bronzée délicieusement et complètement.

Je t'écris cette lettre pour te dire que rien n'a changé dans mes pensées et ton souvenir reste bien vivant dans ma tête.

Il est vrai qu'en t'écrivant ces lignes j'espère toujours déclencher en toi une réponse qui éclairera mes pensées pour toi.

Qu'as-tu fait depuis le jour où tu m'as dit "je vous baise la queue peut être pour la dernière fois"? Comment gères-tu tes journées et comment va ta famille après les perturbations que vous avez connues?

Revois-tu Françoise et son mari? 

Toutes ces questions sont vivement présentes dans mon esprit.

Je pense que tu as maintenant ton téléphone portable "à toi" mais hélas je ne sais rien de cela non plus.

De mon côté Tia, depuis ce 6 mai 2012, je n'ai plus recherché de soumise, oh, bien sûr des rencontres ici ou là mais rien de sérieux. Je fréquente chaque mois une table ronde qui se réunit dans un café de la ville de Berne mais ne fait rien d'autre.

Honnêtement je veux te dire que notre relation qui a échoué (provisoirement), mais est-ce définitif (?), m'a quand même quelque peu mis dans le doute et je ne sais pas trop comment je pourrais te "récupérer". Parfois je me dis que j'aurais du laisser faire le contact avec tes "amis" pour te garder plus près de moi et d'éviter ce mail du 6 mai, mais il est aussi vrai que je ne me voyais pas "mis en concurrence" avec eux. Je ne pouvais plus "te protéger" comme le dis la prière de la soumise que tu connaissais par coeur.

Sur mon iphone, j'ai gardé tes photos et parfois je consulte le site sur lequel tu es enregistrée comme esclave. Ca me rappelle les excellents moments que nous avons passés via ton ordi ou par l'entremise du téléphone portable de ton mari. Tu étais absolument délicieuse et pour un dom comme moi, ton comportement, le dialogue était d'une qualité irréprochable.

Voilà Tia (Katia devrais-je dire), ce message te parviendra, je le pense. En effet, je ne peux pas m'imaginer que quelque part dans ta tête ne trotte pas la pony girl que je me promettais de dresser et que tu ne jettes pas un coup d'oeil à ce blog que j'ai ouvert pour nous deux. Cette pony girl, retrouvera-t-elle le chemin de la stalle de son Maître, l'avenir nous le dira! C'est vrai. Mais pour l'instant, avec patience, je t'attends!

Je t'embrasse Tia, sois courageuse, sois sereine et crois bien, malgré des doutes légitimes, en mon inébranlable confiance de te revoir bientôt.

Ton "ancien" (ou re-futur) Maître François


Le 14.8.12

Ma chère Tia,

 

Non, non, je ne t'ai pas oubliée et ton souvenir hante mon esprit. Depuis la dernière lettre je me demande comment tu as repris le travail, comment va ta famille et comment tu peux gérer ton intimité.

Le temps passe, certe, mais les choses que nous avons vécues ensemble sont encore fraîches.

De Françoise je n'ai plus jamais eu de contact et je me suis toujours demandé si tu les voyais encore.

Je m'imagine que tu as ton nouveau téléphone portable dont je ne connais rien mais qui m'aurait permis de temps en temps de te lancer des messages de sympathie.

Comme je te l'avais dit, j'avais cherché dans la région parisienne un manège car j'avais dans mes projets envie de te dresser comme une belle pony girl, prête à être montrée aussi dans des concours orgnaisés par des clubs en France et en Europe. 

J'ai retenu des adresses de donjons pour te faire passer des épreuves d'initiation avec toujours la finaltié de te faire jouir pour ton plaisir et pour le mien.

Dans ma région, j'ai trouve l'adresse d'une vieille fortification dans laquelle je m'imagine pouvoir te faire vivre d'intenses moments d'esclave enfermée dans des murs et derrière des grilles rouillées. Portant tes fers et la chaîne qui te relie au mur de la cellule. Toujours sous l'oeil attentif de ton Maître que je suis.

Voilà Tia, tu vois, les projets sont prêts à être réalisés mais pour l'instant je te laisse trouver les solutions pour toi. Sache simplement que dès ton signal, dès ta reprise de contact avec ton Maître, celui-ci sera heureux de t'accueillir.

Je te souhaite une bonne fin d'été, Tia, à tout bientôt j'espère!

Ton Maître ... enfin le Maître qui t'apprécie et qui t'attend patiemment.


le 29.8.12

 

Bonsoir chère Tia,

 Les jours passent inexorablement mais tout aussi régulièrement ton souvenir m'éclaire la tête. Ton Maître, ton ancien guide dans cette découverte du BDSM pense à toi, toujours! La raison est simple, tu as été une élève exemplaire.

De façon lançinante aussi je me pose la question sur ta vie d'aujourd'hui. Que fais-tu, quelles sont tes activités, quelles  envies as-tu?

Cette fin du mois d'août ne signifie pas que tout se termine ici, je poursuit mon idée de te récupérer une fois. Tu seras accueillie en princesse des soumises.

Donne-moi de tes nouvelles Tia, elle ne t'engagerons pas au-delà de tes disponibilités.

Je t'embrasse et t'encourage!

Ton ancien Maître 


Le 11.9.12

 

Bonjour ma chère Tia,

Eh, oui, le silence est difficile à admettre, pourtant il est réel mais le Maître que je suis ne renonce pas à rester en contact avec toi.

Pourquoi me demanderas-tu? D'abord parce que j'ai eu un immense plaisir à converser avec toi, parce que tu t'es montrée si volontaire et aussi et peut être surtout par ton parcours "normal" de femme.

Oui je n'ai pas perdu l'espoir de te récupérer comme soumise désireuse de vivre les moments forts et émotionnellement inoublibales d'une esclave sous l'autorité de son Maître.

Je n'ai pas perdu l'espoir de te fixer un licol, et un mors dans ta bouche pour te dresser comme une pony girl de classe, capable de faire des évolutions au bout de mes rênes, recevant, au gré de tes capacités soit un coup de cravache soit une caresse. De faire rebondir tes merveilleux seins dans l'exercice des pas, du trot que je te commanderai.

Passe une bonne journée Tia. Dès que tu peux et dès que ton envie devient irrésistible, écris moi et livre-moi tes dernières nouvelles.

Ton Maître


Le 14.9.12
Katia est revenue  (mais pour qui, pourquoi ?)
Tia-sur-alt.com.jpg

Bonjour Katia,

 

Ce matin j'ouvre mon ordi sur alt.com et là! Surprise, je vois ton profil affiché! Surprise d'autant plus grande que je me demande où tu te trouves ce matin pour être sur le site. Au bureau, à la maison, sur ton téléphone portable? Comment as-tu pu gérer ton affaire, ça ça m'intéresse beaucoup, tes amis Françoise et Marc, les vois-tu toujours ? comment vis-tu maintenant ?

Je te pose ces questions car ton parcours m'intéresse, ton parcours m'a aussi passionné, touché aussi!

J'espère que tu auras la possibilité ou peut être le courage de me répondre. Comme tu le vois je ne t'ai jamais oubliée et il est vrai que si nous pouvions continuer ce que nous avons commencé de si belle manière ce printemps ce serait évidemment super beau...

Je passe de temps à autre à Paris et quand je suis sur l'autoroute en direction de Torcy où mes amis habitent et chez qui je loge quand je suis en région parisienne je ne peux pas m'empêcher de penser à toi.

Je t'enverrai aussi un petit message sur le mail.

Bien à toi

Maître François



 


Par Clovehitch - Publié dans : Histoires
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