Tu es une soumise que j'ai rencontré il y a peu. Contrairement à toutes les soumises que j'ai pu rencontrer depuis début 2011 tu as rapidement fait ton choix: découvrir ton interlocuteur, répondre présente à sa sollicitation de rencontre, discuter avec lui longuement, le rencontrer!

Tu as reçu mes photographies, tu as envoyé les tiennes et nous avons commencé une très riche et soutenue conversation. Tu m'as dit ton noviciat, je t'ai répondu par mon plaisir de t'initier, de t'expliquer. Je l'ai fait avec d'autant plus de plaisir que tu me répondais souvent avec un laconique "oui" ou avec des commentaires assez fournis. Bref toujours présente et désireuse d'en savoir plus.

Je t'ai découverte et très lentement mais sûrement, appréciée au-delà de ce qu'un dom peut faire! Tu es probablement une soumise novice mais en fait j'ai découvert que tu es une soumise idéeale: celle que je m'imaginais rencontrer idéalement. Tu es jolie, tu es jeune (33 ans) et tu es bien prête à assumer tes envies. Le seul petit problème est la distance qui nous sépare. Petit "hic" que je me propose de résoudre par de fréquents voyages en attendant d'entrevoir d'autres solutions.

En fait lors de nos échanges j'ai aussi découvert une symétrie entre ta situation et la mienne. Tu es seule avec 2 enfants, je suis marié. Nous avons donc à gérer ces "problèmes" (ce n'est pas un handicap d'avoir deux enfants). Je le comprends et je sais que nous pourrons le faire sans trop de problèmes.

Nous nous sommes rencontrés et j'ai pu vérifier ta soumission, ton désir et ta grande disponibilité!

(je ne donnerai pas la date pour éviter que l'on te nuise au cas où le ou la personne qui a provoqué ton retrait poursuive sa nuisance,enfin tu m'en diras plus, plus tard!)

Tu as respecté cette relation 24/24 heures, ne t'avais-je pas dit que tu peux me déranger tout le temps, même la nuit. Depuis le début, tu n'as jamais manqué un jour. Bravo ma belle esclave d'amour, tu es brave et découvrant aussi la dureté de ton existence actuelle, je peux aussi te dire mon admiration pour ton courage et ton abnégation. Tu as fait face, et aujourd'hui je me demande quelle énergie mentale et psychologique tu as pour surmonter ce qui, moi, ton Maître, me coulerais moralement! Comme c'est bon d'avoir à ses côté une femme comme toi, c'est une sensation exceptionnelle que seuls les Maître de mon espèce peuvent ressentir.

Tu t'es préparée avec soins, je l'ai vu! Tu t'es épilée soigneusement, tu as vernis tes ongles dans la couleur que je prescris, tu ma demandé la permission de porter des dim up de couleur chair par discrétion. Tu as respecté le code d'habillement que je t'ai donné. 

Tu m'as montré, déjà à ce stade, combien tu es prête à être tenue en laisse, comment tu prouves ta dévotion à ton Maître. Je t'en félicite très sincèrement. 

J'avais réservé une belle chambre dans une maison mais hélas la propriétaire n'était pas là et j'ai dû chercher une alternative (je lui en veux, à cette personne, car elle nous a pris du temps pour rien).

J'ai finalement trouvé une belle chambre dans un hôtel de la vielle ville. Nous nous y sommes finalement installés.

Tu t'es déshabillée et j'ai préparé la chambre. Puis, te demandant de te mettre dans le coin, à genoux je t'ai bandé les yeux  et j'ai commencé à vérifier la bonne tenue des divers bâillons que j'avais apporté. Ta bouche est petite et j'ai identifié le bâillon boule qui te va le mieux! J'ai aussi mis le bâillon spider. J'ai eu quelques difficultés de mettre l'anneau entre tes dents car comme je l'ai vu un peu plus tard tu as eu quelques problèmes (mais quand je t'ai posé la question plus tard dans la soirée en te ramenant chez toi, tu m'as dit que tu es soignée pour cela) et irrésistiblement j'ai sorti ma queue pour te faire faire une fellation. Ta mâchoire bloquée a cependant laissé ta langue caresser le frein de mon gland. J'ai eu soudain envie de jouir mais je me suis retenu.

Tes mains verrouilée dans les menottes, je t'ai aussi relevée pour te passer la cape noire qui te vas à merveille car tu es petite. Avec les chassures à haut talons cela t'iras "super bien" lors des visites que nous ferons dans des donjons ou pour des sessions ultérieures.

T'accompagnant sur les bord du lit, je t'ai demandé de te mettre à genoux pour commencer un bondage.

Je t'ai liée les bras dans le dos et t'ai fait un bondage classique shibari, lentement avec tendresse et beaucoup de sensualité. Quand je t'ai caressé ta vulve j'ai pu constater que tu étais trempée et que tu appréciais ce moment.

Alors je t'ai couchée sur le dos et j'ai lié tes jambes avec mes cordages de chanvre rouge. Ton sexe alors complètement offert était trempé de ton suc d'amour. Je l'ai caressé et j'ai commencé à t'exciter en appliquant le vibomasseur. Tes gémissements emplissaient la chambre partageant ces sons avec ceux de la musique que j'avais mise en marche pour créer une atmosphère plus détendue.

De temps à autre j'ai observé tes mains liées dans le dos et tes doigts: je voulais m'assurer que la circulation sanguine n'était pas coupée et que, bien que tout ton corps repose sur tes bras repliés dans le dos, tu sois bien. Je t'ai posé plusieurs fois la question et tu m'y a toujours répondu: ça va bien.

Après ce moment de masturbation, je t'ai déliée et je me suis allongé le long de ton corps. J'ai alors caressé ta peau et senti un très léger frémissement que je n'ai pas su interprêter. Etait-ce mes caresses, était-ce une pression psychologique associée à ce que nous vivions ou encore un soucis que tu ne m'as pas transmis, je ne le sais pas, encore maintenant. En fait finalement je suppose qu'effectivement c'était la dernière possibilité qui devait, malheureusement être la bonne.

Je n'en sais rien, mais t'ayant demandé si tu avais joui, tu m'as très franchement répondu avec délicatesse, "pas vraiment, mais c'était bon". 

Alors que tu étais appuyéee sur les coussins du lit je t'ai offert une flacon de parfum Chanel n°5. Un parfum que j'aime particulièrement. Tu m'as remerciée et tu t'en es mis sur le haut du corps.

Je t'ai offert aussi les boules de geisha dont tu ignorais l'existence. Tu me l'avais dit sur msn auparavant. Tu les as glissées dans ton sexe et je t'avais aussi demandé de marcher avec pour en sentir les vibrations. Je t'ai demandé si tu pouvais les porter un jour au travail. Tu m'as répondu que ce n'étais pas certain alors je t'ai répondu qu'éventuellement tu pouvais les retirer en cours de travail, en passant aux toilettes.

Tu as gardé longtemps ces boules dans la main droite. Je l'ai vu, cela m'a touché!

J'ai ensuite voulu te faire sentir les quelques effets des fouets et martinets que j'avais amenés. J'ai commencé à te présenter le fouet hongrois et je t'ai frappé les  fesses, doucement, puis j'ai utilisé le fouet "single tail" léger puis le second plus lourd qui, lui, se sent plus comme tu me l'as dit. D'ailleurs je voyait que ta peau avait rosi à l'endroit des frappes. Mais ces marques ne sont pas restées!

Les martinets que je t'ai fait sentir après ont été plus doux pour toi et tu me l'as dit aussi!

Menottes aux mains, je t'ai alors couchée sur le dos et j'ai commencé à t'appliquer le vibromasseur sur ton sexe. J'ai aussi utlisé le petit vibro pour te caresser le clitoris. Tes gémissents m'ont     bien excités aussi. Côte à côté tu m'as aussi fait une nouvelle fellation puis je t'ai demandé de me chevancher le visage pour que je puisse te sucer la vulve pendant que tu me suçais la queue. Ce furent des moments d'intense amour, j'ai aussi énormément apprécié la saveur de ta liqueur d'amour qui enduisant tout ton sexe. J'en garderai le souvenir pendant longtemps et aussi sur la route qui m'a ramené chez moi, tard dans la nuit.

Tu as fait une petite sieste avec moi à tes côtés, je t'avais lié les mains avec les menottes. Je t'ai prise en photo avec tes mains entravées alors que tu dormais. Tu es belle Ella, j'ai trouvé l'image délicieuse!

L'heure avance et je te réveille. Je te caresse le corps à un tel point que mes mains ont emmagasiné ton odeur jusqu'au lendemain. De la même façon la fumée qui envahit ton haleine (il faudrait que tu arrêtes de fumer mais on verra ça plus tard quand tu seras sortie de cette vie difficile que tu mènes) et que je redoutais tant (je n'aime pas la fumée).Elle a finalement empreint ma propore bouche, ce goût qui lui aussi m'a accompagné jusqu'au lendemain: Je l'ai aimé aussi Ella! J'avais crains, du coup et à cause de ce goût, être découvert à mon retour, mais il n'en fut rien heureusement.

En te parlant à l'oreille, je t'ai répété la "prière" de la soumise que je voulais t'entendre dire, Avec douceur tu m'as répété, c'était tellement beau de t'entendre: "Maître je suis votre esclave, Maître, je vous appartiens, je vous aime, Maître je suis votre propriété, Maître vous prenez soin de moi, et vous me protégez, Maître je suis votre soumise et je vous sers, Maître vous possédez mon esprit, mon corps et mon âme, et je vous suis dévolue."

Nous étions joue contre joue! Délicieux Ella! Ella, cette prière, ce n'est pas un jeu, je le pense vraiment, je le pense affectueusement!

Je t'ai ensuite expliqué ce que je t'avais écrit sur msn, ta soumission au restaurant: Tu me tiens la porte en entrant, je choisi la table et je te donne mon manteau, tu me pousses la chaise pour m'asseoir, tu vas acccocher le manteau et tu reviens vers la table, debout tu attends que je te donne l'ordre de t'asseoir. Tu t'assieds et je choisis pour toi le menu. Tu gardes les yeux baissés (à moins que je te demande le contraire). A la fin du repas, je te commande d'aller chercher le manteau, je me lève et tu m'aides à passer mon par-dessus; tu repousses ma chaises et nous nous en allons, tu me tiens la porte ouverte et tu me suis. Tu as répété cela avec diligence et douceur.

Il devait être 5h et demi, nous nous sommes levés et je t'ai demandé d'accomplir les diverses positions de la soumise comme c'est expliqué sur le blog.

Tu as accompli ces positions, nue sur le sol de la chambre. Tu l'as fait sans aucune remarque négative, avec diligence et soumisson. J'ai pris les photos de ces diverses situations et tu n'as eu aucune parole, aucun commentaire, tu l'as fait avec beaucoup de diligence. 

Le dernier baiser de l'esclave que tu es (je ne savais pas que c'était l'avant dernier baiser de la soirée, non plus). Tu t'es agenouillée et tu m'as baisé les pieds nus puis tu t'es approchée de ma queue pour y déposer un doux baiser humide. J'ai tellement aimé que je t'ai demandé de le refaire. Tu m'as alors regardé presque interloquée, probablement te demandant si tu n'avais pas fait une faute. Non Ella, c'étais simplement délicieux! 

Ella, tu as été super! tu es la meilleure soumise que je n'aie jamais rencontré réellement! Bravo Ella! Encore aujourd'hui, je t'embrasse et te félicite, tu es pour moi une perle! Oui, Ella, je dis bien une perle rare! 

Mais soudain, alors que nous devions nous rhabiller pour aller au restaurant, ton téléphone portable t'annonce une mauvaise nouvelle. Je t'ai vue bidouiller ton portable, tu m'as dit que tu n'avais pas le signal. Tu as passé ton soutien-gorge, ton string, tes bas dim up pour lesquels je t'ai dit qu'ils sont à la bonne hauteur, juste en-dessous de ton sexe. Ta jupe bleue foncé avec cette fine ceinture rouge. ton chemiser blanc. Dans ton sac, dans lequel j'ai vu que tu avais pris ton porte-jartelle et tes bas noirs, tu avais aussi glissé ton blouson de travail que tu avais emmené pour ne pas perdre de temps. Aujourd'hui je m'en veux de pas t'avoir demandé de les mettre..., oubli d'un Maître sous le coup d'être avec une novice aussi performante et aimante!

C'est fini, nous rentrons. Interruption de programme! Je ne sais pas trop ce qui se passe mais je te laisse discrètement appeler.

Malheur, qu'arrive-t-il? Tu me donnes une raison, est-ce la vraie? est-ce seulement la raison première qui cache d'autres motifs plus profonds, je n'en sais rien.

Sur le chemin du retour, tu me parles de tes enfants, de tes dents, de ton travail. Je te dis mon souhait pour toi d'une vie meilleure!

Ella, sur le parking devant chez toi, je t'ai serrée dans mes bras, je voulais être joue contre joue, d'abord, pour te parler à l'oreille. Tu avais compris quand mon visage s'est approché du tiens que je voulais te baiser sur la bouche, oui je voulais le faire, mais d'abord profiter des derniers instants pour te sentir encore une dernière fois collée à toi.

Un baiser langoureux et tu es partie dans le noir vers l'entrée de ton immeuble. je t'ai suivie des yeux  jusqu'au bout. Moment d'émotion intense. Pour toi, je ne sais pas, tu devais te faire un mourrons pas possible sur les raisons de l'appel téléphonique, que se passe-t-il, pourquoi cette interruption devais-tu te demander ?

Je suis resté un moment figé sur le siège de ma voiture... qu'arrive-t-il... que se passe-t-il? Mon esprit a imaginé tes premiers gestes arrivant chez toi. Je suis reparti à l'hôtel, j'ai repassé à côté de la société où tu iras travailler demain matin à 4heures. J'ai pris une douche, chargé les bagages et je suis parti dans le nuit pour avaler les 500 kilomètres qui nous séparent. J'étais évidemment triste et j'ai pas cessé de mélanger les moments heureux de l'après-midi avec les interrogations et le regret de ne pas avoir pu conclure notre première rencontre. Mais je ne savais pas encore que tu allais m'envoyer un sms plus difficile à comprendre et à accepter. "Je dois mettre ma vie de femme entre paranthèse, je dois m'occuper de mes enfants" m'as tu écrit. Nous avons effacé les profils figurant sur 3 sites "spécialisés". Il reste que nous nous connaissons maintenant, sites internet ou pas.

A bientôt ma belle esclave, tu as été délicieuse, bravo à toi! J'attendrai ton retour, le temps qu'il faudra Ella ! Tu es devenue trop précieuse pour moi pour que je t'oublie facilement! pour que je t'oublie, tout court!