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Autres cas typiques

Pour faire suite au précédent chapitre "Cas typiques", ci-après d'autres cas démonstratifs. Je me suis permis quelques clins d'oeil à une ou deux sousmises en cours de contact. Leur réaction leur est ouverte je me réjouis de les lire.

Cas 111

Immobilisation presque debout. Il s'agit d'une belle immobilisation exécutée avec des cordages sous un portique. La position ici est particulièrement difficile car la soumise n'est pas debout mais les liens la forcent à être genous fléchis. Si elle se laisse aller elle est retenue par les liens autour du cou et ceux qui passent au haut de ses jambes.

Cas 112

Corset noir. Un très beau corset lacé au dos et serré très sérieusement à la taille. Cela demande évidemment pas mal d'entraînement d'avoir ce serrage à la taille. C'est aussi très beau à voir!

Cas 113

Duel à fouet long. les visages sont protégés soit par des cagoules ou des masques. La tête étant reliée à l'autre soumise. La diureté des coups de fouet dépend souvent de la distance maximale entre les deux filles. Le port de souliers à haut talons peut être une difficulté supplémentaire car dès qu'une des deux tombe par terre, elle subit alors les coups de fouets sans pouvoir plus se défendre. Un tel duel peut être considéré comme une épreuve réservée aux plus maso ou à celles qui font preuve de beaucoup de courage. Les récompenses aux participantes peuvent être évidemment multiples et variées comme celles d'être honorées par le Maître ou par une sélection de spectateurs.

Cas 114

Punition à la cravache. Très belle présentation d'un Maître qui immobilie sa soumise en la chevauchant et lui retenant les bras pour bien décourir un très beau postérieur. ici la punition est assez sévère puisque des marques sont visibles. j'aime ce genre de situation et comme cela se lit ailleurs, et je suis disposé à marquer sévèrement une soumise peu obéissante ou ayant manqué à se conformer aux règles de soumises que l'on peut lire sur ce blog. Il est évident aussi que c'est parce que la disponibilité de la soumise pour ce genre de situation est connu et accepté par elle.

Cas 115

Correction sur le sofa. Evocation sans commentaires particuliers d'une jeune soumise dressée à recevoir le fouet.

Cas 116

A genoux. Dressage d'une soumise portant la ceinture de chasteté et attachée sur un chevalet. J'aime le port de la ceinture de chasteté notamment celles qui sont faites en métal et ceci sur les périodes assez longues sous les vêtements et pendant la journée.

Cas 117

Martinet au saut du lit. Martinet appliqué sur les fesses d'une soumise. L'instrument est porté sur un long manche ce qui donne un peu plus de puissance aux coups.

Cas 118

La potence. Immobilisation d'une soumise à une potence. Celle-ci porte un corser de cuir et une sorte de ceinture de chasteté. J'ai eu contact avec des soumises qui souhaitaient des suspensions par le cou. Ce genre de situation justement possible avec un telle potence reste un exercice délicat pour éviter tout accident.

Cas 119

Correction. Un soumis recevant la cravache d'une maîtresse. Je ne suis pas spécialement attiré par les soumis et je refuse d'en prendre la charge. Par contre la tenue de la maîtresse est sympa à voir.

Cas 120

Sévère punition devant une niche. La puissance du geste de la maîtresse fouettant une soumise attachée à la niche plaît bien. 

Cas 121

Chat à 9 queues. La flagellation par un chat à 9 queues est un moment très fort d'une soumise. Evidemment la force mise pour frapper va conditionner les traces sur la peau. J'ai connu des chats à 9 queues faits avec des lanières assez lourdes. Les marques sont alors profondes sous la peau et mettent un peu plus de temps à être soignées. 

Cas 121

Le carcan. C'est un instrument que j'ai déjà mentionné ailleurs. celui-ci fixé au niveau du cou présente l'avantage de ne pas permettre à la soumise de lapper dans une écuelle. La seconde soumise porte elle un masque que l'on peut imaginer très serré.

Cas 122

Vélo à l'arrêt. Une soumise "vélo-girl" est immobilisée à un arbre et reçoit une correction de sa maîtresse. Les activités dans la nature sont bien sûr multiples et variées. On peut utiliser la végétation, le sol et les occupants de la nature (insectes par exemple)  pour toutes sorte de situations. 

cas 123

Punition lors d'un banquet. Une soumise attachée à une chaise reçoit des coups de cravache sur le ventre. Ceci montre qu'avec un simple mobilier on peut préparer une très belle séance de S/M (pour celles qui réclament absolument un donjon pour y être dressées) et aussi les formes que peuvent prendre un service à table. Valou, c'est pour toi!    

cas 124

Maîtresse. Une maîtresse prête à manier la cravache... Inutile de préciser que je cette femme peut aisément être remplacée par un Maître. Bien entendu l'habillement correspondant est de rigueur. Perosnnellement j'exerce en tenue "catsuit" noir qui est agréable à porter, de plus le noir met en évidence la soumise, ce qui est finalement le but de l'exercice dans un rapport S/M.

Cas 125

Fouettée devant le miroir. Rien de spécial à ajouter si ce n'est que le rôle du visuel reste très important dans une séance d'épreuves. Soit par bandeau sur les yeux, ce qui a pour effet de concentrer les sens sur le toucher, l'odorat et l'aditif; soir en montrat à la soumise l'évolution de son état en lui présentant, dans ce cas là, les diverses marques que le fouet va poser sur sa peau.   

Cas 126

Position plat ventre. Une position pour être fouettée. Les soumises endurantes savent recevoir le fouet sans broncher et sans tenter de fuir.

Cas 127

Bondage. Excellent exemple de liens pour immobiliser une soumise. Je suis assez habile dans ce domaine pour faire un ligotage soigneux et indéfaisable. celui qui est présenté ici ne me semble pas très "pro".

Cas 128

Le lavement. Injection de liquide dans le colon. Ceci s'appelle, en temes médicaux, l'hydrothérapie. Elle a pour fonction de laver le colon et de le soulager. Plusieurs grandes figures publiques y on recours ou ont eu recours à cette thérapie. Le lavement a aussi pour but de lavec la partie que l'on peut ensuite utiliser pour des dilatations ou d'autres activités touchan cette zone. Le lavement n'est pas douloureux bien que si l'on utilise de grandes quantités, 2-3 litres d'eau par exemple on peut ressentir quelques douleurs passagères. Je n'utilise que de l'eau ou des liquides non irritants tels que des boissons alcoolisées qui peuvent provoquer des problèmes de santé dont le contrôle nous échappe.

Il est important aussi de ne pas confondre le lavement avec une activité scatologique.

cas 129

Corset noir. Cette photo est agréabée à voir, elle a un côté rétro que j'aime bien avec ces bas noirs à couture et les bottes montantes.

Cas 130

La corrida. Une scène bien particulière réservée aux initiés. Les pointes ne doivent pas être très longues pour éviter toute atteinte du nerf sciatique, en revanche cette activité est, toujours pour les initiées, un moment très fort et très spectaculaire. On peut imaginer la même action avec des fléchettes.

Cas 131

Le bilboquet. Jeu de l'époque qui est ici reconstitué avec une soumise assise sur une plateforme surmontée par un gode. La posiiton instable fait en sorte que le godmichet introduit dans le sexe de la soumise ne cesse de bouger. Aussi beau à voir qu'à faire et à subir!

Utilisant de vieilles gravures ou dessins publiés dans une revue américaine, je vous décris quelques scènes typiques avec des considérations personnelles sur les situations présentées. 

Ces cas permettent de recueillir des commentaires de personnes qui consultent le blog et aussi pour ouvrir la discussion.

Une soirée Shibari (sous titre)

Depuis mon plus jeune âge j’ai toujours aimé jouer avec les cordes et ficelles. J’ai toujours aimé faire des nœuds, des formes (pour celles qui connaissent des scoubidous à 4 brins ou à 6). Bien sûr, ficeler une soumise m’a toujours fait aussi plaisir (en m’assurant que ce plaisir soit partagé). Hier soir, invité par une soumise accompagnée de sa fille Soleil de Printemps*, j’ai eu le bonheur d’apprendre la mode japonaise de ligoter : le shibari. Je connaissais cette méthode, par le nom et cela ne m’a jamais posé de problème d’imiter le shibari quant aux poses des soumises ligotées. Par contre le faire selon les méthodes japonnaises authentiques m’a passionné ! Sous l’experte direction de Ibinuphis  et de sa femme, j’ai donc appris à faire les nœuds et des formes d’immobilisation selon cette méthode.

Dans le même temps, un couple d’allemands, très sympathique, s’est adonné à cette pratique, Monsieur ligotant sa femme en suspension latérale et profitant de la présence d’un treuil pour soulever se compagne au-dessus du sol.

Soleil de Printemps, elle, entre les mains du « pape » suisse du shibari, un certain Dani, fut ligotées selon 5 figures différentes. Dans des positions originales. Hélas la règle voulait qu’il n’y ait pas de photographies bien que toutes les participantes étaient habillées de juste-au-corps noirs.

Les cordages que l’on utilise sont en jute traité selon une méthode bien particulière : lavage, séchage, ensuite brûlage de la surface, puis immersion dans un bain d’huile d’amande douce, séchage encore.

Les cordes étaient de couleur brune (jute ordinaire) ou de couleur rouge, jute teintée.

Utilisant les cordages en nylon, que j’aime bien car la surface lisse est plus agréable pour la peau, et de diamètre de 8mm, les cordes shibari sont elles un peu plus minces 6 mm. L’effet cisaillant est contré par des cordages au moins doubles et souvent entourant les membres plusieurs fois.

La différence avec d’autres cordages c’est évidemment le toucher qui un peu plus rêche qu’avec des cordes de nylon. Le traitement proposé par Ibinuphis m’a cependant prouvé que l’effet doux est manifeste.

Lors des exercices de ligature j’ai utilisé des cordages en coton qui sont évidemment beaucoup plus doux. La différence réside aussi dans le fait que mouillé le cordage de jute se rétrécit alors que celui de coton s’allonge. Les cordes sont longues de 8 mètres et toutes se terminent avec un nœud qui sert à terminer le bondage en glissant le plus souvent le bout terminal entre deux cordes.

Lors des exercices, une attention particulière fut attirée sur la sécurité avec un couteau à crochet destiné à libérer la personne en moins de 3 minutes (règle des 3 minutes). D’ailleurs la longueur des cordes est adaptée à cette règle des 3 minutes. En cas de détresse la partie vitale du corps doit être libérée.

Une fois les techniques de bases acquises, la fantaisie laisse libre cours à immobiliser la personne dans des positions originales.

Le témoignage de Soleil de Printemps m’a aussi beaucoup intéressé car je la voyait fermant les yeux et étant toute souple entre les mains de Dani qui en contact physique avec elle maniait ses cordages avec dextérité et vitesse.

Elle me confia qu’elle entre en transes et tombe en extase pendant qu’elle est ligotée.

J’ai été convaincu par cette discipline  comme étant une discipline à part entière et pouvant aussi agrémenter une complète session BDSM.

Nota bene: * Soleil de Printemps est un pseudo que je lui donne car je n'ai pas encore pu la contacter pour lui demander l'autorisation de mettre son vrai prénom.

Je me dois de citer l'entreprise de Ibinuphis et sa compagne: www.smstore.ch. Ils vendent des cordages en jute sur leur site!

Ils se trouveront aussi comme exposants à la foire "Extasia" de Bâle (Suisse) du 25 au 27 novembre 2011. Peut être nous y rencontrerons-nous car j'ai bien envie d'y aller!

Et pour les intéressés je cite ici 4 ouvrages sur le thème shibari et bondage. Hélas en anglais ou en allemand...